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Les 2 infinis
27 juin 2012

Trait d'humour

dessins13

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26 juin 2012

NIKOLA TESLA

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Génie oublié ou mal connu, Nikola Tesla est pour­tant à l'origine de la plupart des grandes inventions modernes. C'est en effet ce Serbe émigré aux Etats­Unis qui a découvert une multitude de technologies liées à l'électricité. Notamment le courant alternatif (jusque-là les installations ne fonctionnaient qu'en courant continu), une théorie sur la radioactivité, la télécommande, le générateur, le moteur à induction électrique, la lampe à haute fréquence plus écono­mique que les néons, et la bobine Tesla des téléviseurs à tube cathodique. En 1893, bien avant Marconi, il met au point un système de transmission des messages télé­graphiques sans fil, en utilisant les ondes hertziennes. Il découvre le principe de réflexion des ondes sur les objets, en 1900, et publie des travaux qui permettront plus tard la mise au point des premiers radars. Il a déposé en tout plus de 900 brevets qui, pour la plu­part, ont été volés par Thomas Edison.
Nikola Tesla avait en effet une vision idéaliste de la science et voulait livrer les technologies gratuitement au public, ce qui lui a valu l'hostilité des milieux finan­ciers de l'epoque. Il avait, par exemple, imaginé que la tour Eiffel émette un puissant champ électrique pour que tous les Parisiens puissent utiliser l'électricité gra­tuitement. En 1898, il fabrique une arme à resonance qui, grâce à une multitude de petits coups répétés, fait trembler un immeuble entier. Il fabrique des bateaux lanceurs de torpilles télecommandées, dont l'un peut même devenir sous-marin.
A la fin de sa vie, considérablement appauvri, Nikola Tesla travaille à un « rayon de la mort » pour l'US Air Force. Il cherche aussi à mettre au point sa fameuse « énergie libre », une source d'énergie infinie et gratuite, ce qui achève de le discréditer aux yeux de ses collègues scientifiques de l'époque. Il meurt le 7 janvier 1943. Le FBI confisquera toutes ses notes et toutes ses maquettes de travail.
Son nom est cependant resté comme unité de mesure de l'induction magnétique : le tesla.

Bernard Werber, "Nouvelle encyclopédie du savoir relatif et absolu"


17 juin 2012

Amour toujours

11 juin 2012

Humour

dessins14

10 juin 2012

Comment imaginer une particule de matière ?

Longtemps on a pensé que les particules qui nous composaient étaient des sortes de petites billes dures. On a donc imaginé par exemple que les atomes étaient comme des systèmes planétaires, où des électrons tournaient autour du noyau comme les planètes tournent autour du soleil. Mais on a fait des expériences qu’on ne pouvait pas expliquer si on continuait de considérer que les particules étaient «ponctuelles», c’est à dire des petites billes dures. Ce sont les premiers résultats de la mécanique quantique.
Un électron par exemple c’est tout le contraire d’une bille indéformable : c’est au contraire un «blob», un nuage léger et très déformable. En général, on trouve les électrons dans les atomes : ils forme ce qu’on appelle le «nuage électronique», c’est à dire un nuage d’électrons autour d’un noyau qui lui ressemble, vu de loin, à une petite sphère indéformable.
Deux électrons peuvent se marcher sur les pieds, c’est à dire s’interpénétrer. Par contre, ils ne peuvent absolument pas se «recouvrir» complètement : c’est ce qu’on appelle «le principe d’exclusion». Il est en fait le signe de quelque chose de beaucoup plus profond qu’on aborde dans la théorie fille de la mécanique quantique, la théorie des champs.
Un électron est donc un petit nuage. Ce nuage peut parfaitement se diviser en deux, avec chacun des morceaux allant dans une direction différente, pourquoi pas. Mais vous voyez du coup qu’il n’est plus possible de dire où est l’électron, ni quelle est sa vitesse. Puisque l’électron n’est pas une bille, ces questions n’ont aucun sens.
Imaginez maintenant que ces deux morceaux d’électrons s’éloignent l’un de l’autre : cela reste cependant la même particule. Un exemple ? Eh bien en appuyant sur un des morceaux, l’autre réagit instantanément. C’est normal, puisque c’est la même particule ! Cela s’appelle la «non-localité».
En général, et c’est important, les électrons n’occupent guère plus de place qu’un atome. Il est rare qu’il leur soit donné la possibilité de prendre leurs aises, et de s’étaler. Mais lorsqu’ils le font, on s’aperçoit qu’ils se comportent comme des ondes : prenons encore nos deux morceaux d’un même électron, et imaginons qu’ils se rencontrent. Eh bien le résultat n’est pas simplement l’addition des deux morceaux : il se produit ce qu’on appelle des interférences, ce qui est une propriété que l’on croyait réservée aux ondes !
La lumière est justement composée de particules, appellées photons. Chacune de ces particules est capable d’interférer avec elle-même, et de produire donc des interférences. Donc un troupeau de ces particules produit des interférences, puisqu’elles le font toutes. Ce qui explique que la lumière se comporte comme une onde : elle fait des interférences. Et on a mis longtemps à comprendre que la lumière n’était pas seulement une onde, mais bien constituée de particules.
Ce sont les premières leçons que vous donne la mécanique quantique : les particules de matière sont parfaitement «déformables», ce ne sont pas des billes minuscules, et du coup, elles sont capables de se comporter comme des ondes. Mais que l’on agisse sur une partie de la particule, et instantanément, le reste réagit.

e-scio.net

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8 juin 2012

Le mental est un magnifique outil si l'on s'en sert à bon escient. Dans le cas contraire, il devient très destructeur. Plus précisément, ce n'est pas tant que vous utilisez mal votre " mental " ; c'est plutôt qu'en général vous ne vous en servez pas du tout, car c'est lui qui se sert de vous. Et c'est cela la maladie, puisque vous croyez être votre mental. C'est cela l'illusion. L'outil a pris possession de vous.

Eckhart Tolle, Le pouvoir du moment présent

7 juin 2012

La danse cosmique

Rien de ce qui a une forme n’est stable et permanent dans l’univers. Tout est question de regard et d’angle de vue. On n’a pas la même manière de se sentir soi lorsqu’on envisage la vie comme un combat incessant à travers ses plaisirs et ses blessures dans un monde dont les rouages seraient inébranlables et notre capacité à les changer nulle, ou si l’on se rappelle que nous avons investi une vaste scène de théâtre planétaire qui tourne sur son axe à 1.700 km/heure et à près de 30 kilomètres par seconde autour du Soleil, qui lui-même file à 230 kilomètres par seconde autour de sa galaxie – la Voie Lactée -, qui elle même «tombe» vers la galaxie d’Andromède à 90 km/s, étant l’une des 10.000 autres galaxies du même groupe local qui toutes filent à 45 km/s vers le centre de l’amas, lui même attiré à 600 km/s par l’amas de galaxie de la Vierge et le super-amas de l’Hydre et du Centaure. On parle là d’un petit bout d’univers en mouvement au sein de super-univers constituant des multi-univers. Qui sait jusqu’où s’étend cette horlogerie et jusqu’à quelles manifestations la vie prend forme ? Les êtres de lumière qui eux mêmes nous enseignent ne le savent pas et c’est là toute la beauté de la Création. La perspective de soi en tout cas est bien différente selon l’angle de vue qu’on exerce. Et vu sous l’angle cosmique, seule la confiance, autrement dit la foi, est la bonne attitude pour demeurer serein.
urantia-gaia

6 juin 2012

Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une

Nous ne sommes pas des êtres

humains vivant une expérience

spirituelle, nous sommes des êtres

spirituels vivant une expérience humaine.


Teilhard de Chardin

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