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Les 2 infinis
28 décembre 2012

humour

dessin7

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25 décembre 2012

Un petit point bleu pâle

voyager

Cette image est une de celles que Voyager 1 a renvoyé en 1990. C'est celle de la Terre à 6,4 milliards de kilomètres. Carl Sagan l'avait prise comme point de départ pour une conférence à L'Université Cornell et qu'il avait commencé ainsi :

"C'est ici. C'est chez nous. C'est nous.
Sur ce point, tout ceux dont vous avez un jour entendu parler, chaque être humain qui a vécu, y a vécu toute sa vie.
La somme de toutes nos joies et de nos souffrances, des milliers de religions exclusivement véridiques, toutes les doctrines idéologiques et économiques, tous les chasseurs et les cueilleurs, tous les héros et les lâches, tous les créateurs et tous les destructeurs de civilisations, tous les rois et tous les paysans, tous les amoureux, tous les enfants, toutes les mères et tous les pères, tous les inventeurs, explorateurs, enseignants, tous les politiciens, qu'ils soient corrompus ou non, toutes les vedettes, tous les dirigeants suprêmes, tous les saints et tous les pécheurs de l'histoire de notre espèce, ont vécu là, sur un grain de poussière suspendu à un rayon de soleil.
La Terre est un tout petit théâtre dans la vaste fresque cosmique.
Pensez à toutes ces rivières de sang versées par ces généraux et ces empereurs afin que dans la gloire et le triomphe, ils deviennent pendant un instant les maîtres d'une fraction de ce grain de poussière.
Pensez aux cruautés sans fins infligées par les habitants d'un coin de ce point aux habitants d'un autre coin. Combien fréquent est l'incompréhension, combien sommes-nous désireux de nous entre-tuer, combien fervente est notre haine. Notre arrogance, l'importance que nous nous accordons, l'illusion que nous avons une place privilégiée dans l'univers sont confrontés à ce pâle point de lumière.
Notre planète est un point isolé dans la grande noirceur cosmique.
Dans cette obscurité - aussi vaste qu'elle soit - rien ne nous indique que nous obtiendrons une quelconque aide de l'extérieur pour nous sauver de nous-mêmes. Ceci nous appartient, et à nous seuls. Il a été dit que l'astronomie rend humble et j'ajoute qu'elle forme aussi le caractère.
En ce qui me concerne, il n'y a probablement pas de meilleure démonstration de la folie de l'humain que cette distante image de notre minuscule monde. Pour moi, cette image souligne notre responsabilité de traiter avec plus de gentillesse et plus de compassion chacun de nous et de préserver et chérir ce pâle point bleu, la seule demeure que nous ayons jamais eu."

21 décembre 2012

Apprendre la méditation avec Matthieu Ricard

Mat

Grâce aux nombreuses études sur la méditation, nous en connaissons désormais ses bienfaits sur la santé, tant physique que mentale. Cependant beaucoup d’entre nous ignorent encore comment la pratiquer. Matthieu Ricard nous explique comment procéder et nous fait découvrir l’Art de la Méditation.
L’INREES s’est associé à la conférence de Matthieu Ricard organisée les 16 et 17 mai dernier à Paris, où Matthieu Ricard a présenté une conférence le samedi soir et animé une journée de séminaire sur l'Art de la Méditation le dimanche. Ce fut une occasion pour l’équipe de l’INREES de retrouver de nombreux adhérents, et également de faire découvrir le travail de notre Institut à un nouveau public, tout en relayant l’action de la fondation Karuna-Shechen, association humanitaire que Matthieu Ricard soutient depuis une dizaine d'années.

Alors pourquoi et comment méditer ? Premier temps, se rappeler la motivation à la source de l'exercice. Soulager la souffrance, la sienne bien-sûr, ce qui n'est pas le moindre des bénéfices, mais aussi celle des autres. La méditation est une technique d'entraînement de l'esprit, un outil qui vise à libérer la conscience prise dans le cercle vicieux de l'attachement, de la distorsion, du manque de discernement. Il suffit de regarder en soi ou autour de soi pour voir les dégâts causés par un déficit de conscience, par la colère, la haine, le vengeance, la jalousie, la peur, qui n'en sont que les conséquences. Pratiquer la méditation demande le courage de sortir des automatismes, des distractions, pour entraîner sa conscience à mieux fonctionner.

Deuxième temps, travailler la clarté et la stabilité de l'esprit. En se concentrant sur sa respiration, la sensation thoracique ou abdominale, avec sa régularité de métronome, il est possible de focaliser son attention. Les pensées peuvent alors surgir dans le champ de conscience, provoquant l'agitation. Il suffit alors de les observer, de les laisser surgir puis disparaître, sans lutter, comme on regarderait un papillon apparaître, se poser sur une fleur puis s'envoler au loin. Se faisant, l'esprit progresse vers la pleine conscience. La même préparation peut être obtenue en se concentrant sur un objet, une pierre, une flamme, sur une image, une sculpture. En particulier, les bouddhistes aiment se concentrer sur une image de Bouddha, extérieure ou intérieure, et méditer sur son infinie compassion. Le même travail peut aussi s'accomplir lors d'une marche conscience. Pour ce qui est de la posture, à chacun de trouver la sienne, ni trop lâche sous peine de céder à la torpeur, ni trop tendue, sous peine d'être trop agité. c'est comme accorder une corde de guitare.

Troisième temps, l'esprit étant disponible, il est maintenant possible de méditer sur 4 domaines incommensurables : l'altruisme inconditionnel, la compassion, la réjouissance et l'impartialité ou équanimité. Pendant la méditation, diriger son altruisme, amour inconditionnel vers les êtres chers, pour élargir progressivement ce flot généreux vers l'ensemble des êtres et souhaiter la fin de leurs souffrances. Pour la compassion, l'exercice est semblable, mais adressée cette fois-ci à des personnes en souffrance. De la même manière, en étendant la portée de votre compassion. La compassion va au-delà de l'empathie. Résoner avec les émotions des autres est la première phase, qui permet de partager la souffrance, mais ce n'est pas tout. Un exercice méditatif simple consiste à inspirer la souffrance des autres, comme si l'on aspirait leurs troubles, puis à expirer le bonheur, toute la compassion, un flot d'énergie bienveillante et généreuse pour aider à la transformation des autres. La réjouissance consiste à célébrer le bonheur et la réussite des autres, le développement de leurs qualités, l'éveil de leurs potentialités. Cet exercice devient l'antidote de l'envie et de la jalousie. l'impartialité est l'engagement de développer ces trois formes, altruisme, compassion et réjouissance, envers tous les êtres, sans distinction, qu'ils soient amis ou perçus comme ennemis. Matthieu Ricard rappelle qu'il ne s'agit en rien ici d'excuser des atrocités ou de les banaliser, mais simplement de souhaiter à ces personnes de connaître la libération des souffrances, causes de tant de violence et de destruction.

Quatrième temps, travailler la vision pénétrante. Percevoir l'impermanence en toute chose, en toute situation pour mieux vivre dans le flux de l'instant présent. Prendre conscience des projections, dérivées des attentes de l'ego, identifier les distorsions qui en résultent et les dissoudre dans la lumière, comme l'obscurité cesse au premier rayon de soleil. Comme l'a dit le poète Rilke : « Ne vous laissez pas abuser par la surface; dans les profondeurs tout devient loi. »

  Ce bref aperçu de la pratique méditative bouddhiste peut surprendre l'occidental. Ces thèmes ne sont plus abordés dans nos sociétés, sauf pour en rire, en moquant la naïveté qui s'en dégage. A tel point que Matthieu Ricard soulignait qu'après vérification, il s'avère que dans les études de médecine américaines, le mot compassion n'est pas prononcé une fois...! Inutile d'espérer un meilleur résultat dans la médecine française. Pourtant, cette pratique de clarification de l'esprit, de maîtrise de soi et d'action juste envers la communauté rejoint une tradition occidentale qui me semble faire un certain retour : le stoïcisme.

Les plus récalcitrants se rassureront peut-être en apprenant que la pratique de la méditation est associée à de nombreux bénéfices pour la santé, dans les domaines cardio-vasculaires, en tant que traitement complémentaire des cancers ou d'autres pathologies chroniques lourdes et bien plus encore. Les études les plus récentes montrent des bénéfices à court terme, en quelques semaines de pratiques.

Enfin, le déficit de pratique et d'entraînement de nos états de conscience explique certainement pourquoi nous avons tant de mal à admettre la survenue d'états modifiés de conscience, comme nous le rappelle l'INREES qui aide à accueillir l'extraordinaire dans nos vies et qui était partenaire de la journée. Vous retrouverez d'ailleurs un article de Matthieu Ricard « Ne sous-estimez pas les pouvoirs de l'esprit » dans le n°3 du Magazine de l'INREES.
Vu sur INREES
16 décembre 2012

La monnaie - Du pouvoir d'achat au pouvoir d'être

15 décembre 2012

Darpan interwievé par Ana Sandrea

 

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12 décembre 2012

L'homme énergétique

La recherche moderne a apporté la preuve que l’être humain n’était pas uniquement constitué de matière, mais qu’il était également psychique et énergétique. De plus, l’astrophysique avec l’étude de l’univers, la physique quantique et la recherche russe sur la pensée ont permis de relier les différentes médecines de manière scientifique, objective et incontournable….
Les analyses sur l’infiniment petit nous apprennent déjà que la matière telle que nous la concevons habituellement n’existe pas ! Elle n’est en fait qu’une concentration gigantesque d’énergie dans un volume insignifiant… De plus, la théorie onde-corpuscule a démontré qu’un corpuscule (matière) pouvait se transformer en onde (énergie) et inversement. Un peu comme l’eau peut se transformer en vapeur puis se condenser pour reprendre son aspect liquide. De plus les corpuscules, leptons et quarks, puis neutrons, protons et électrons s’assemblent continuellement pour constituer les atomes. Pour donner une idée de l’échelle de ces éléments, si un noyau atomique avait la taille d’un ballon de football, l’électron qui gravite autour de lui, aurait la taille d’une balle de ping-pong et serait éloigné de lui d’une distance équivalente à la hauteur de la Tout Eiffel ! Cela fait donc beaucoup de vide entre les deux. Les atomes sont constitués de vide, comme notre système solaire contient des vides immenses entre ses planètes… Alors si la matière est constitué de 99,99% de vide, pourquoi a-t-on cette impression de dureté, de solidité ? Pourquoi arrive-t-on à se saisir les objets ? Pourquoi notre main ne passe-t-elle à travers eux ? La réponse se trouve dans les énormes forces d’attraction et de gravitationqui les relient. Ce sont elles qui donnent cette impression de solidité à la matière.
Mais si la matière n’est formée que d’énergie, cela signifie bien évidemment que le corps humain dans son ensemble n’est aussi constitué qu’énergie ! Alors, comment est-il possible de nier cet aspect fondamental de l’être humain pour ne s’intéresser qu’à son aspect chimique ? Pourquoi la médecine s’est ainsi concentrée uniquement sur les remèdes chimiques alors que les aspects énergétiques et électromagnétiques ont été complètement occultés ? Il serait même plus vrai de dire que la médecine physique a été volontairement éliminée… En effet, il n’y a encore que quelques décennies, de nombreux appareils physiques étaient utilisés avec des résultats très honorables, sur de nombreuses indications, dans la plupart des services hospitaliers français. Il existait des appareils à UV, à infra-rouges, des chocs électriques, des appareils électriques galvaniques, bas voltages, etc… sans oublier les appareils de Lakhowski et de Prioré qui ont eu des résultats remarquables en particulier contre les cancers. Ensuite furent développés les lasers, les champs électriques pulsés, le système Mora, qui ont des possibilités très intéressantes et complètement laissées de côté.

L’information donne l’orientation à la matière/énergie
L’univers ne peut pas se résumer qu’à la seule matière-énergie. Il lui faut quelque chose en plus, pour l’ordonner, l’orienter et la faire évoluer. Comment expliquer autrement que l’énergie se soit façonnée en corpuscules puis en atomes et en molécules pour arriver à constituer des protéines, ces molécules extrêmement complexes qui sont les agents de la vie ? Qu’est-ce qui a poussé l’énergie puis les corpuscules et la matière, a évolué du simple vers le complexe, des êtres unicellulaires aux animaux puis à l’homme, c’est-à-dire à la conscience ? Il a fallu une informationpour mettre « en forme » pour « en-former » l’énergie puis la matière.
Ainsi, l’univers est constitué de trois aspects qui sont intimement liés : la matière, l’énergie et l’information. De plus, cette dernière est portée par l’énergie, comme une émission radio est portée par une onde jusqu’au poste de radio qui se mettra en résonance (au diapason, en harmonie) avec elle afin de la recevoir. Ce phénomène de « résonance » est d’ailleurs un système très important car c’est lui qui gère la plupart des relations s’effectuant dans l’univers.

L’homme à l’image de l’univers
L’homme ne fait pas exception dans ce grand ensemble. Il est constitué également de ces trois aspects indivisibles qui sont appelés chez lui : le physique, l’énergie et le psychisme.
L’être humain est ainsi formé d’un corps physique, que nous connaissons et qui le met en relation avec son environnement. Mais cet aspect ne constitue que la partie la plus « basse » (dans le sens « vibration lente ») de l’être humain. Car, il est aussi constitué d’autres « corps », les corps énergétiques qui sont de nature de plus en plus subtile : corps éthérique, astral, mental, spirituel et l’âme… chacun ayant un rôle dévolu. Le corps éthérique est le plus proche du corps physique auquel il sert de moule et de réservoir énergétique. Le corps mental sera le siège du raisonnement (bas-mental) et de l’intuition (haut-mental). Quant au corps spirituel, il est le siège de la conscience, on pourrait dire de l’esprit.
Pour vivre l’être humain a besoin d’énergie, comme une voiture a besoin d’une batterie pour fonctionner. Cette énergie a plusieurs origines. Il y a l’énergie ancestrale fournie à la naissance, l’énergie des aliments (il s’agit ici de vibration et non de calories) et de l’air respiré, l’énergie tellurique qui nous vient de la Terre, et l’énergie cosmique et universelle qui est fournie en permanence par l’univers (énergie prânique). Cette énergie va nourrir tous les corps, physique et énergétiques, de l’être humain en suivant un trajet bien précis : corps éthérique, chakras, méridiens, nadis, kundlini… pour être ensuite éliminée du corps principalement au niveau des pieds et du chakra racine. Ces énergies sont relayées au niveau du corps par les nerfs et les hormones pour atteindre les organes, les tissus et le cerveau.
Quant à l’esprit, il est donc situé principalement au niveau des corps énergétiques et est en étroite relation avec le cerveau qui lui sert d’antenne relais. D’ailleurs, un élément très troublant démontre que le cerveau n’est qu’un émetteur-récepteur. L’étude du fonctionnement du cerveau à l’aide d’IRM fonctionnel (IRMF), a démontré que la zone d’action (motrice) d’un bras au niveau du cerveau est activée, avant même que le cerveau n’est donné l’ordre de bouger le bras. Alors il est logique de se demander qui commande ? Mais, si l’on considère que le cerveau n’est qu’une antenne relais de l’esprit qui lui, est situé dans les corps énergétiques, alors tout s’éclaire…

La force de la pensée
Chez l’homme, la pensée a une puissance extraordinaire. La preuve nous est donnée par l’effet placebo qui à lui seul, induit 30% de l’effet thérapeutique. Cela peut même monter jusqu’à 50 à 60% dans certains cas. Or ce n’est que l’esprit de la personne grâce à sa forte confiance en son traitement, qui produise ce résultat sur le corps. Le médicament et le médecin ne sont que les supports.
Un autre exemple nous est fourni avec l’hypnose, où le thérapeute passe des inductions (messages) à la personne afin que son corps les exécute. Les douleurs, les dépendances aux drogues, les saignements disparaissent alors comme par enchantement. Mais qui a réalisé cette prouesse ? Ce n’est pas le thérapeute, il n’a fait que passer le message. C’est ici encore l’esprit de la personne qui a reçu le message en état sophronique (état modifié de conscience) et qui a commandé à l’organisme la réalisation de l’ordre reçu.
L’effet de la pensée a été très joliment mis en évidence avec les travaux d’Emoto. Il a montré, photos à l’appui, qu’un simple mot comme « amour » ou « haine » produisait des cristallisations différentes de l’eau. En poussant plus loin ces recherches, il a établi aussi que la pensée pouvait produire le même résultat.

Guérisons
Les exemples affluent confirmant l’action de la pensée sur la matière. C’est ainsi que la pensée du chercheur va perturber les résultats des expériences effectuées en physique quantique… ce qui pose bien des problèmes pour la recherche.
D’autres expériences ont montré que des cellules isolées du corps humain (spermatozoïdes ou globules blancs) réagissaient aux émotions de leur donneur alors que celui-ci s’était éloigné de plusieurs kilomètres.  Les cellules demeuraient donc connectées à la personne donneuse.
La prière est un autre exemple troublant. Une étude de l’Américan Médical Association effectuée sur 990 cardiaques à l’hôpital de Kansas City a démontré que « la prière accélère la guérison ». Pour cela, les chercheurs ont confié la moitié de ces cardiaques aux prières de personnes issues de diverses religions. Ils ont ensuite constaté qu’il y avait moins de complications dans ce groupe de malades que chez les autres qui n’avaient pas bénéficié de ce « traitement ».
Une autre étude a concerné un groupe de femmes traitées pour stérilité. Les fécondations in vitro (FIV) chez les femmes bénéficiant des prières, ont connu deux fois plus de succès que chez les autres : 50% contre 26%.
C’est ainsi que le Professeur Benson de l’université d’Harvard qui s’est beaucoup intéressé aux effets de la prière, estime que les patients qui répètent souvent des prières, sont capables de déclencher des changements bénéfiques dans le fonctionnement de leurs organes.
Il est possible aussi d’évoquer les effets bénéfiques obtenus par beaucoup de personnes malades, avec les techniques de pensées positives et avec celles de visualisation qui ont été mises au point par le Dr Carl Simonton.
Tous ces exemples pour démontrer que la seule force de la pensée est bien capable d’agir sur le corps. Il est très étonnant et très dommage que la médecine ne s’intéresse pas davantage à ces possibilités pour ses traitements.

Les connections corps-énergie-psychisme
Le fonctionnement de cet ensemble corps-énergie-psychisme est d’une simplicité extraordinaire. C’est ce qui lui donne sa force et fait sa beauté.
Car en fait, une émotion n’est qu’une information portée par une vibration. Cette émotion vibre à une fréquence qui lui est propre. C’est ainsi que la vibration de la jalousie ne vibre pas au même niveau que celle de la beauté ou de la compassion.
D’un autre côté, le corps humain est formé d’énergie. Chaque organe qui le compose, a sa vibration propre. Et ce sera la somme de toutes les vibrations de tous les organes et tissus du corps qui donnera la vibration globale d’un être humain.
Ainsi, une émotion particulière vécue par une personne, comme une rancœur ou une rancune, vibrera à une fréquence donnée. Celle-ci entrera en résonance avec l’organe vibrant en harmonie avec elle, en l’occurrence la vésicule biliaire. L’énergie-émotion se fixera alors sur la vésicule, et y bloquera la circulation de l’énergie. La vésicule commencera à mal fonctionner sur le plan physique… ce qui produira une inflammation à son niveau. Cette dernière attirera les toxines et les toxiques présents dans l’organisme, induisant une maladie sur cet organe, qui avec le temps deviendra de plus en plus grave: inflammation, infection, calcul… voire cancer. C’est ainsi qu’un choc émotionnel peut générer à la longue, une maladie grave. Le choc est le déclencheur, il bloque la circulation de l’énergie, puis les toxines et les toxiques attirés par lui, génèreront la maladie sur le plan physique… Le psychisme et le physique se rejoignent par l’intermédiaire de l’énergie qui leur sert d’interface.
Inversement, lorsqu’un organe fonctionne mal, à cause d’une séquelle de maladie, d’infection, ou d’un traumatisme physique. Il va s’enflammer, attirant à lui les toxines et les toxiques de l’organisme, comme vu précédemment. L’organe touché par exemple un sein, va générer une vibration pathologique qui entrera alors en résonance avec l’émotion correspondante, par exemple la peur ou l’inquiétude pour ses enfants. C’est ainsi qu’un organe malade peut générer des sentiments chez une personne. Le physique agit ainsi sur le psychisme, par l’intermédiaire du système énergétique.
Mais le système énergétique peut également produire des problèmes de santé importants de différentes manières. Par exemple, lorsque le niveau vibratoire d’une personne baisse de manière notable, il entre alors dans le champ de la maladie. Et plus la vibration sera basse, plus la maladie sera grave comme un cancer ou un sida. Une autre possibilité est la production d’une perturbation de l’énergie d’une personne à la suite de désordre provenant de l’extérieur comme des énergies telluriques nocives venant d’un problème géobiologique, ou encore des énergies perverses reçues d’autres personnes… Car comme Emoto l’a montré, une pensée modifie la structure de l’eau. Ainsi lors d’une rencontre avec une personne, ses pensées vont structurer notre eau, en bien ou en mal, selon leur nature… Or, le corps humain est composé en moyenne de 70 % d’eau… Ces pensées étrangères vont donc agir directement sur notre équilibre physique via notre système énergétique et notre système hydrique. Et si ces pensées sont suffisamment fortes, ou si elles sont souvent répétées, elles viendront nous perturber de manière importante induisant éventuellement des problèmes de santé.

La maladie peut donc provenir des trois niveaux : physique, psychique et énergétique. Mais quelque soit l’élément déclencheur, les trois niveaux sont toujours impliqués d’une manière ou d’une autre dans la formation de la maladie. Le traitement devra donc obligatoirement traiter ces 3 niveaux pour obtenir une guérison complète et définitive de la personne. C’est pourquoi, en plus des traitements propres à la maladie, il faudra :
> Eliminer les toxines et les toxiques hors de l’organisme, et aussi drainer l’organe atteint.
> Lever des blocages énergétiques et remonter du niveau énergétique de l’organisme.
> Solutionner les conflits, les croyances limitantes, les peurs…
Ces mêmes dispositions peuvent être mises en place dans le but de prévenir les maladies… Elles constituent la meilleure solution pour vivre vieux et en bonne santé.

Nous sommes tous reliés
Mais, il est possible d’aller encore plus loin. Comme nous sommes des êtres constitués d’énergie comme tout ce qui nous entoure, et comme notre esprit est capable d’influencer notre corps… cela signifie qu’il est tout aussi capable d’influencer notre environnement, c’est-à-dire notre réalité mais aussi les gens que nous rencontrons (confère Emoto). Suivant cette logique, nous pouvons donc considérer que nous sommes les organisateurs, c’est-à-dire les instigateurs du monde dans lequel nous vivons. C’est pourquoi, en nous changeant, c’est-à-dire en changeant notre intérieur et notre façon de penser, nous pouvons transformer notre vie et même notre environnement. Car comme le montre la « théorie des cordes » de la physique quantique, nous sommes tous reliés comme les différentes notes de musique (les cordes) sont réunies pour jouer une partition. C’est ainsi qu’un changement chez nous transformera obligatoirement les autres… mais aussi transformera notre réalité.

Donc, pour retrouver la santé, pour changer de vie, pour vivre dans un monde meilleur, il ne faut pas chercher la solution à l’extérieur dans un remède, chez les gouvernants ou dans un miracle… Non ! il faut la chercher en nous-même. L’extérieur est totalement relié avec nous. Nous ne faisons qu’un avec lui. C’est pourquoi, l’extérieur et tous les événements que nous vivons, ne sont que les miroirs de nous-mêmes… notre reflet. Si nous changeons, si nous améliorons les parties de nous-mêmes que nous n’aimons pas, nous changerons l’univers dans lequel nous baignons… pour atteindre un monde de  beauté, de compréhension et de tolérance… un bel avenir à tous.

Dr Luc Bodin

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