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Les 2 infinis
22 janvier 2014

S'aimer soi même

Si tu ne t’aimes pas toi-même, tu ne pourras jamais aimer quelqu’un d’autre. Si tu ne peux pas te traiter avec tendresse, tu ne peux pas non plus traiter les autres avec tendresse. C’est psychologiquement impossible.

Tu traites les autres comme tu te traites toi-même. C’est un fait, accepte-le. Si tu te détestes, tu détesteras aussi les autres; de fait, on t’a appris à te détester ! Jamais, personne ne t’a dit : « aime-toi toi-même ! ». L’idée elle-même semble absurde : s’aimer soi-même ? L’idée elle-même n’a pas de sens ! On pense toujours que pour aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre. Mais si tu n’apprends pas à t’aimer toi-même, tu ne pourras pas non plus aimer les autres.

On t’a conditionné en te répétant sans arrêt que tu ne vaux rien. On t’a dit et on t’a démontré de toutes les façons possibles, que tu es indigne, que tu n’es pas comme tu devrais être, que tu n’es pas acceptable tel que tu es. Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.

Le premier pas est de t’accepter tel que tu es. Laisse tomber tous les « tu devrais ». Ne trimbale aucun « tu devrais » dans ton coeur ! Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Détend-toi et sois seulement toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.

Osho

 

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21 janvier 2014

Illuminer le quotidien

Quoi que vous fassiez, faites-le avec une profonde vigilance ; alors même les petites chose deviennent sacrées.
Faire la cuisine ou nettoyer devient sacrés ; cela devient une adoration. L'important n'est pas ce que vous faites, mais comment vous le faites.
Vous pouvez nettoyer le sol comme un robot, mécaniquement ; vous devez le nettoyer, alors vous le faites. Mais vous passez à côté de quelque chose de très beau. Vous gaspillez ces instants en vous contentant de le nettoyer. Nettoyer le sol aurait pu être une grande expérience ; vous êtes passé à côté. Le sol est nettoyé mais quelque chose qui aurait pu se passer en vous ne s'est pas passé. Si vous aviez été conscient, non seulement le sol aurait été nettoyé, mais vous auriez ressenti une profonde purification. Nettoyez le sol en pleine conscience, lumineux de conscience.
Travaillez, restez assis, ou marchez, mais maintenez ce fil continu : faites que des moments de votre vie de plus en plus nombreux deviennent lumineux de conscience. Que la flamme de la conscience brûle à chaque instant, dans chaque acte.
L'illumination, c'est leur effet cumulatif. Tous ces moments mis ensemble, toutes ces petites flammes rassemblées, deviennent une grande source de lumière.

Osho (" Qu’est-ce que la méditation ? ")

 

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19 janvier 2014

Soyez la présence qui perçoit

(...)
Soyez la présence qui perçoit plutôt que la personne qui perçoit. Par exemple, vous pourriez regarder dans cette pièce, si vous êtes un praticien avancé de la conscience, vous pourriez regarder dans cette pièce, la saisir entièrement, sentir la présence qui rend possible la perception, sans rien nommer mentalement. Il n’y a que la conscience spacieuse, des perceptions à travers la conscience spacieuse. C’est une pratique spirituelle étonnante : des perceptions à travers la conscience spacieuse plutôt que le voile des jugements mentaux. "Bon ou mauvais", ce sont toujours des jugements mentaux. Cela en soi est une pratique.
Vous pouvez le faire continuellement où que vous soyez. Vous avez un moment, pourquoi ne pas pratiquer la perception à travers la conscience spacieuse. Ce pourrait être une perception auditive. La perception visuelle est bien sûr la perception principale pour la plupart des humains. Donc, vous pouvez sentir une présence ou une conscience et il y a la perception sensorielle. La conscience est la lumière, non pas la lumière visuelle, la lumière de la conscience qui rend possible la perception.
Sans la conscience qui perçoit cette pièce, cette pièce ne serait qu’atomes et molécules flottant dans l’espace, parce que ce n’est rien d’autre. Ce ne serait pas un théâtre merveilleux du XIXe siècle. Ce seraient des atomes et des molécules en train de flotter, mais il y a ici une lumière de… - Le monde est créé par cette perception consciente. . . . Et c’est une pratique magnifique qui vous libère aussi continuellement du fait d’être enfermés dans la petite personnalité.
Donc, au lieu de fonctionner continuellement en tant que petite personnalité, toujours reliée aux choses à travers les yeux de la petite personnalité conditionnée, vous percevez les choses à travers la dimension transcendante de la conscience et vous devenez la lumière du monde, ce qui est bien sûr essentiellement le sans-forme qui regarde les formes qu’il a créées lui-même. Je recommande donc vivement cette pratique de perception à travers la conscience spacieuse. Cela requiert bien sûr une certaine vigilance et cette vigilance est ce qu’elle est déjà.
Soit vous êtes vraiment capables de regarder dans la pièce pendant une ou deux minutes sans l’ingérence des pensées, soit vous pouvez ne regarder que trois ou quatre secondes, c’est très bien, ça n’a pas d’importance. C’est intemporel dans tous les cas. C’est la dimension intemporelle de la conscience. Donc, trois ou quatre secondes, c’est excellent, ça suffit. Et à mesure que vous pratiquez pendant des temps plus longs, vous pouvez être la conscience. Et un jour, vous pouvez entrer dans un magasin, regarder le vendeur et pendant cinq secondes, il n’y a pas la moindre pensée et vous dites ce que vous avez à dire, puis vous retournez simplement à la conscience.
En étant en relation avec toute personne, en rencontrant les autres, soyez la conscience plutôt que la personne. Vous êtes donc deux, pourrait-on dire, l’identité en tant que forme avec le mental qui est conditionnée par le passé et la dimension intemporelle de la conscience. Et parfois, il ne s’agit pas nécessairement d’être l’une ou l’autre bien que cela arrive aussi. La plupart des gens ne sont toujours que la personne, inconscients de la conscience. Il peut aussi arriver que vous passiez du temps dans la conscience au lieu de penser ou avec peu de pensées. Mais les deux arrivent principalement ensemble de sorte que quand vous vous mettez à penser, l’espace demeure. Même en pensant, il y a toujours le sentiment de la présence à l’arrière-plan.
(...)

Eckhart Tolle
(l'intégralité de la conférence ici)

18 janvier 2014

Beauty

B E A U T Y - dir. Rino Stefano Tagliafierro from Rino Stefano Tagliafierro on Vimeo.

pour ceux que ça intéresse, vous trouverez ici
la liste des 100 chefs-d'oeuvres de la peinture utilisés dans la vidéo.

17 janvier 2014

L'Open focus

La méthode Open-Focus a été développée par Les Fehmi suite à ses recherches sur le neurofeedback à partir des années 1960. Elle est enseignée aujourd'hui principalement au Princeton Biofeedback Centre dans le New Jersey. Elle part de la constatation qu'il existe différentes manières de prêter attention à nous-même et ce qui nous entoure :

  • l'attention objective à visée étroite : ce mode d'attention est mis en œuvre quand il y a un objectif précis à atteindre: prendre une décision, résoudre un problème, éviter un danger ou le combattre... On privilégie alors quelques éléments cognitifs (raisonnement intellectuel ou activité mnésique par exemple) ou sensoriels (provenant du sens "dominant" : généralement la vue ou l'ouïe), au détriment de tout le reste : vécu interne, émotions, etc. Ce mode de fonctionnement donne de très bons résultats, mais en contrepartie mobilise beaucoup d'énergie et crée beaucoup de tension car nous y sommes en "état d'alerte", sur le qui-vive. Un moment dans ce mode d'attention est souvent vécu comme épuisant et stressant.
  • l'attention immergée à visée étroite : ce mode d'attention est mis en œuvre quand nous sommes captivés par une activité au détriment de tout le reste, perdant jusqu'à la conscience de nous-même. L'exemple typique est le jeu vidéo, mais n'importe quelle autre activité peut nous amener à basculer dans ce mode d'attention si elle nous parait suffisamment attirante, valorisante. A l'issu d'un moment dans ce mode d'attention, nous nous sentons à la fois épuisé et heureux: même si ce mode d'attention consomme autant d'énergie que le précédent, le fait de s'oublier soi-même un moment dans une activité vécue comme désirable permet aux tensions de s'évacuer naturellement.
  • l'attention objective à visée large : ce mode d'attention est le nôtre dans les activités (sport, activité artistique, etc, mais aussi dans un environnement professionnel) que nous maîtrisons suffisamment pour être conscient d'une grande variété de stimuli externes et internes. D'une certaine manière, nous y sommes à la fois conscient de nous-même en train d'agir et spectateur de toute la scène autour.
  • l'attention immergée à visée large : dans ce mode d'attention, comme dans le mode d'attention immergée à visée étroite, il n'y a plus vraiment de frontière entre l'intérieur et l'extérieur. Par contre, dans ce mode d'attention, nous sommes immergée dans la totalité de la réalité. Les activités permettant ce mode d'attention ont généralement un fort contenu créatif, spirituel, émotionnel, sensoriel.

Depuis quelques siècles déjà, notre société utilise de plus en plus le mode d'attention objective à visée étroite.
C'est notamment le mode privilégié pour l'apprentissage scolaire, et quand nos maîtres nous demandent d'être attentifs, ils nous demandent sans le savoir eux-même de passer en mode d'attention objective à visée étroite. Les enfants qui "rêvassent", qui sont "tête en l'air", sont tout simplement fatigués par les longues périodes passées en mode d'attention objective à visée étroite.
Ce mode d'attention est aussi celui des activités professionnelles industrielles, répétitives, qui suivent un protocole ou un processus déterminé.
A terme, passer beaucoup de temps dans ce mode d'attention crée à la fois une fatigue psychologique chronique, se manifestant principalement par de l'anxiété, mais aussi une accoutumance: la personne cherche toujours "de quoi s'occuper", a constamment besoin d'un point d'ancrage pour focaliser son attention (la radio ou la télé allumée en permanence par exemple), ne craint rien plus que le silence et l'inactivité.

La méthode Open-Focus et ses bénéfices

Elle vise à nous apprendre à utiliser les quatre modes d'attention en fonction des moments, et surtout à nous apprendre à revenir en mode d'attention à visée large le plus souvent possible. Elle repose essentiellement sur la notion de vide. En effet, prendre conscience de l'espace entre les objets, du silence entre les sons, permet progressivement d'élargir son champ de conscience pour englober une part de plus en plus importante de la réalité.
Un exercice simple à pratiquer les yeux fermés consiste à porter son attention vers un œil, prendre conscience de cet œil lui-même, et également de la paupière qui le ferme, des cils, du sourcil au-dessus, du nez à côté. Ensuite, porter son attention vers le deuxième œil et procéder de même. Puis passer plusieurs fois de l'un à l'autre en prenant conscience du mouvement de l'attention au passage de l'un à l'autre. Ensuite, élargir son champ de conscience pour englober les deux yeux et l'espace entre les deux.
Quand il est maîtrisé, cet exercice peut être décliné avec les oreilles, les mains, puis la tête toute entière, le corps tout entier. Bien sûr, cette capacité à élargir son champ de conscience s'acquiert progressivement et demande un entraînement régulier.
Ensuite, quand survient un phénomène désagréable (douleur physique, émotion négative par exemple), en passant en mode d'attention à visée large, il n'accapare plus tout le champ de conscience. Il est un stimulus parmi d'autres plus positifs, et nous pouvons plus facilement le regarder en face, attendre qu'il se dissolve naturellement comme tout phénomène ou agir si besoin est.

 http://www.en-chemin-vers-soi.fr/

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16 janvier 2014

Sortir du stress par l’attention

 

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Arrêter la chasse aux pensées
Le tigre est aux aguets. Ses muscles se tendent. Son attention se resserre. Il guette ses proies. Il choisit une gazelle qui semble plus faible que les autres, et se focalise sur elle uniquement, reléguant le reste du troupeau à l’arrière-plan. Lorsque la chasse commence, il ne court plus qu’après ce seul animal, oubliant tout le reste. Une fois son but atteint, l’attention du tigre repu se relâche et les animaux qui passent à sa portée non pas plus d’importance pour lui que le paysage qui l’environne. Nous empruntons ce détour par une scène de la vie animale pour parler aujourd’hui d’un problème de santé publique dans les sociétés occidentales : le stress. Le stress est un état de tension intérieure, qui prend une forme aussi bien physique que mentale et se manifeste par toutes sortes de désagréments, agitation, douleurs chroniques, anxiété généralisée, troubles du sommeil, de l’alimentation, et surtout troubles des capacités d’attention. Ce tableau clinique, bien connu des médecins et des psychologues, mais aussi de monsieur tout-le-monde car il en souffre directement, n’est pas une fatalité. Le monde moderne va en ce sens, et nous bombarde d’informations, de stimuli en tout genre, et nous contraint à suivre une vitesse croissante dans le traitement de ces informations. Certains peuvent le déplorer, mais le ressort de cet état de fait collectif est le plaisir que l’on peut ressentir à être ainsi soumis à une pression grandissante, sommé de réagir, dans une tension certes douloureuse mais qui fait se sentir vivant, « au taquet » dit-on. Nous adorons sentir notre esprit comme un tigre en chasse… Mais l’animal, parfois plus sage que l’homme, sait quand il faut s’arrêter et une fois son objectif à court terme rempli, il passe à un autre mode attentionnel. Cela, les hommes ne savent plus le faire. Ils courent sans cesse après leurs pensées, leurs préoccupations, leurs obligations professionnelles ou sociales, entre le téléphone mobile et internet, entre la télévision et les divertissements, comme autant de stimulations accaparantes. Nous en sommes venus au point d’être des handicapés de l’attention, prisonniers du stress, qui fait des ravages, causant un grand nombre de maladies et de dépressions réactionnelles. Mais en sortir est possible : par l’attention.

L’attention n’est pas la concentration
D’abord, qu’est-ce que l’attention ? La méditation, au premier chef, nous l’apprend. Il s’agit d’y développer un sens de pleine présence, d’ouverture consciente. Ce n’est pas l’attention coincée du « fais attention ! » mais une présence d’esprit plus large et précise à la fois. L’attention est le vrai secret de la pratique de la méditation par où la vie change, les choses s’ouvrent. Ce secret est connu des pratiquants bouddhistes, mais commence à trouver écho hors de la sphère de la spiritualité. La médecine occidentale commence à s’en nourrir. En France, la vague arrive, pour preuve le Nouvel Observateur a fait sa une de couverture sur la méditation comme nouvelle forme thérapeutique. L’approche mindfulness développée par Jon Kabat-Zinn en est un exemple éminent, de même que l’Open-Focus du psychologue américain Les Fehmi.
Ce dernier explore dans son livre La pleine conscience (Belfond, 2010) une découverte simple mais féconde : l’attention, et surtout la manière que nous avons de prêter attention est au cœur de notre esprit et de notre manière d’être au monde. « La maîtrise de l’attention conduit à des changements (…) sur la totalité du système nerveux, sur les muscles, le corps, la force morale et l’esprit dans son ensemble » Nous ne connaissons encore qu’imparfaitement les ressources de l’esprit, et nous restons fixés sur une dimension étroite de l’attention, comparable à la concentration, à la focalisation (focus) sur un objectif unique, au détriment d’autres dimensions plus ouvertes et intégratives. Fehmi recense les richesses qui sont nôtres à ce niveau et distingue quatre formes d’attention : étroite, diffuse, objective et immergée.
Pour Les Fehmi, de nombreux problèmes peuvent être résolus en changeant simplement de mode d’attention. Il s’agit d’équilibrer entre les quatre types et retrouver une balance plus juste. L’esprit n’a pas à se limiter ainsi, obnubilé par la performance de ce qui est à faire sur l’instant, mais il connaît souplesse et plasticité, permettant de faire rentrer dans le champ de la conscience toutes les nuances de l’expérience qu’une visée étroite exclue pour plus d’efficacité. La visée ouverte préconisée par la méthode Open-Focus est un mode d’attention qui admet à la fois la visée étroite (concentration) et la visée diffuse (perception élargie), les invitant à cohabiter pour une attention plus pleine et une vie plus unifiée.

Attention ouverte
« Attention veut dire "être à l’affût" et non regarder "quelque chose". Ce qui implique un processus de vivacité intelligente et non pas l’action mécanique d’observer bêtement ce qui arrive. » écrit Trungpa Rinpoché dans Le Cœur du sujet. Il ne renverse pas ici la perspective, car cela se réfère plutôt au tigre attentif, ouvert, avant qu’il n’engage sa course effrénée et manque toutes les possibilités qui s’offrent à lui. L’esprit ressemble alors plutôt à l’image traditionnelle du porc qui mange tout ce qui traîne sur son chemin et fonce droit devant sans discrimination, sans intelligence. Ce type de focalisation sur « quelque chose » n’est pas souhaitable, car cela nous fait perdre l’ouverture, la présence, ou ce que Thich Nhat Hanh nomme la pleine conscience. Il est crucial de voir comment l’attention fonctionne, et le travail de Les Fehmi peut y aider par sa précision scientifique qui sépare et analyse les modes attentionnels. Après tout, il n’y a pas à faire de l’attention une idole, quelque chose d’intouchable dans un domaine séparé de la vie, loin des préoccupations quotidiennes. Ce n’est rien de particulier, rien de plus naturel en un sens, si seulement nous ne l’avions oublié avec tant de force. La méditation ouvre des capacités présentes chez tout être humain, mais perdues. Ce n’est pas un exercice spirituel en tant que tel, mais il s’agit d’y ouvrir un rapport au monde que notre éducation nous a fait oublier.

Prêter attention transforme
Toutefois il ne faudrait pas confondre les domaines. La méditation est une révolution quant à notre être entier. Ce n’est pas un outil technique de développement personnel mais un nouveau rapport à l’entièreté de ce qui est. C’est l’appel de la liberté qu’apporte l’attention ouverte. Entendue ainsi, il n’y a pas de contradiction entre les approches psychologiques ou médicales de l’attention et la voie du Bouddha. L’enseignant bouddhiste Fabrice Midal en atteste : « Quelque chose œuvre en vous par la méditation, qui n’est pas de l’ordre de la pensée, la saisie y est impossible. La méditation vous transforme indépendamment de ce que vous voulez. Votre vie change, mais nous ne décidez pas dans quelle direction. Une sagesse plus grande œuvre en vous, par le fait même que vous portez attention. » Prêter attention transforme de soi-même. Les Fehmi va en ce sens lorsqu’il écrit « Chacun a la capacité de rééquilibrer et de guérir son système nerveux pour mettre fin à ses problèmes, soulager sa souffrance, ralentir son rythme de vie tout en accomplissant davantage de choses, vivre plus en profondeur, optimiser ses fonctions physiques et mentales et améliorer radicalement sa vie quotidienne. Comment ? La réponse est simple, elle est à la portée de tous. Il s’agit de changer sa façon de faire attention. »

Nicolas d'Inca
12 janvier 2014

Tempus fugit

2 janvier 2014

...

"Sois toi-même, tous les autres sont déjà pris."

Oscar Wilde

1 janvier 2014

Meilleurs voeux pour 2014

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