Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Les 2 infinis

26 septembre 2012

5 500 galaxies sur une seule photo

Il aura fallu assembler 10 ans de clichés pris par Hubble pour obtenir le portrait le plus éloigné jamais vu de l'univers.

4473831

Le résultat n'est pas seulement un bond sans précédent dans l'univers, c'est aussi un bond dans le temps de plusieurs milliards d'années, permettant d'observer des galaxies encore inconnues présentes à la création de l'univers.

Vu sur Science et Avenir

 

Publicité
Publicité
26 septembre 2012

La maladie de penser sans cesse

 

Samoa

« Quand le mot esprit vient dans la bouche du Papalagui, ses yeux s’agrandissent, s’arrondissent et deviennent fixes, il soulève sa poitrine, respire profondément et se dresse comme un guerrier qui a battu son ennemi, car l’esprit est quelque chose dont il est particulièrement fier. Il n’est pas question là du grand et puissant Esprit que le missionnaire appelle Dieu, et dont nous ne sommes qu’une image chétive, mais du petit esprit qui est au service de l’homme et produit ses pensées.
Quand d’ici je regarde le manguier derrière l’église de la mission, ce n’est pas de l’esprit, parce que je ne fais que regarder. Mais dès que je me rends compte que le manguier dépasse l’église, c’est de l’esprit. Donc il ne faut pas seulement regarder, mais aussi réfléchir sur ce que l’on voit. Ce savoir, le Papalagui l’applique du lever au coucher du soleil. Son esprit est toujours comme un tube à feu chargé ou comme une canne à pêche prête au lancer. Il a de la compassion pour nous, peuple des nombreuses îles, qui ne pratiquons pas ce savoir-réfléchir-sur-tout. D’après lui, nous serions pauvres d’esprit et bêtes comme les animaux des contrées désertiques.

C’est vrai que nous exerçons peu le savoir que le Papalagui nomme penser. Mais la question se pose si est bête celui qui ne pense pas beaucoup, ou celui qui pense beaucoup trop. Le Papalagui pense constamment : "Ma hutte est plus petite que le palmier... Le palmier se plie sous l’orage... L’orage parle avec une grosse voix..." Il pense ainsi, à sa manière naturellement. Et il réfléchit aussi sur lui-même : "Je suis resté de petite taille... Mon coeur bondit de joie à la vue d’une jolie fille... J’aime beaucoup partir en mélaga [voyage]..." Et ainsi de suite... C’est bon et joyeux, et peut même présenter un intérêt insoupçonné pour celui qui aime ce jeu dans sa tête. Cependant, le Papalagui pense tant que penser lui est devenu une habitude, une nécessité et même une obligation. Il faut qu’il pense sans arrêt. Il parvient difficilement à ne pas penser, en laissant vivre son corps. Il ne vit souvent qu’avec sa tête, pendant que tous ses sens reposent dans un sommeil profond, bien qu’il marche, parle, mange et rie. 

Les pensées qui sont le fruit du penser, le retiennent prisonnier. Il a une sorte d’ivresse de ses propres pensées. Quand le soleil brille, il pense aussitôt : ”Comme il fait beau maintenant!” Et il ne s’arrête pas de penser : ”Qu’il fait beau maintenant!” C’est faux. Fondamentalement faux. Fou. Parce qu’il vaut mieux ne pas penser du tout quand le soleil brille. Un Samoan intelligent étend ses membres sous la chaude lumière et ne pense à rien. Il ne prend pas seulement le soleil avec sa tête, mais aussi avec les mains, les pieds, les cuisses, le ventre et tous les membres. Il laisse sa peau et ses membres penser pour lui. Et ils pensent certainement aussi, même si c’est d’une autre façon que la tête. Mais pour le Papalagui l’habitude de penser est souvent sur le chemin comme un gros bloc de lave dont il ne peut se débarrasser. Il pense à des choses gaies, mais n’en rit pas, à des choses tristes, mais n’en pleure pas. Il a faim, mais ne prend pas de taro ni de palousami. C’est un homme dont les sens vivent en conflit avec l’esprit, un homme divisé en deux parties. La vie du Papalagui est comparable à un homme qui part en pirogue à Savaii et pense, à peine éloigné de la rive : "Combien de temps me faudra-t-il pour arriver à Savaii?" Il pense, mais ne voit pas le paysage charmant dans lequel se déroule son voyage. Bientôt sur la rive gauche se présente un flanc de montagne. Son oeil l'a à peine capté qu'il ne peut le lâcher : "Que peut-il y avoir derrière la montagne? Une baie étroite ou profonde?" Avec de telles pensées il oublie de chanter en compagnie des jeunes le chant des rameurs. Il n'entend pas non plus le joyeux badinage de la jeune fille. La baie et la montagne à peine dépassées, une nouvelle pensée le tracasse : "Et si l'orage venait avant le soir?" Dans le ciel clair il cherche des nuages sombres, en continuant à penser à l'orage qui pourrait bien venir. L'orage ne vient pas, et le soir, il atteint Savaii sans encombre. Pourtant c'est comme s'il n'avait pas voyagé, car ses pensées étaient toujours loin de son corps et hors du bateau. Il aurait aussi bien pu rester dans sa hutte d'Upolu.
[...] Est-ce que nous devons, mes chers frères non pensants, après tout ce que je vous ai fidèlement rapporté, être vraiment les disciples du Papalagui et apprendre à penser comme lui ? Je dis : "Non!". Car nous ne devons rien faire de ce qui ne rend pas notre corps fort et nos sens meilleurs et plus heureux. Il faut nous garder de tout ce qui voudrait nous voler la joie de vivre, de tout ce qui assombrit notre esprit et lui prend sa lumière limpide, de tout ce qui met notre tête en conflit avec notre corps. Le Papalagui nous prouve lui-même que penser est une grave maladie qui diminue de beaucoup la valeur de l'être humain. »

Extrait de "Le Papalagui, les paroles de Touiavii, chef de la tribu de Tiavéa dans les îles Samoa" recueilli par Erich Scheurmann

25 septembre 2012

Kenya, joyau de la planète

24 septembre 2012

Humour

dessin10

23 septembre 2012

Messages électroniques (2)

L’électron est à la fois le constructeur et l’animateur de tout ce qui est vivant. Il est la seule unité matérielle qui puisse entrer en contact direct avec le psychisme individuel aussi bien que cosmique.
« Dès lors, on est en droit de s’interroger sur la vraie nature de l’électron. Étant capable de comprendre des ordres venant de la psyché, de les interpréter et de les exécuter, ne pouvons-nous réellement le considérer que sous l’aspect d’un simple corpuscule matériel? Ne semblet-il pas qu’il soit muni d’antennes qui lui permettent de converser avec la psyché? Sa nature n’est-elle point ambiguë, mi-matière, mi-psyché ?
Si l’électron a une nature ambiguë, quelle est donc la nature de l’énergie qu’il concentre? Telle est l’énigme que nous pose le mystérieux petit électron qui nous parle, nous fait vivre, nous obéit, mais que nous connaissons si peu, si peu !

Alfred Herrmann, physicien

Publicité
Publicité
20 septembre 2012

L'orchidée singe

Baptisées "Dracula Simienne" par le botaniste Luer, ces orchidées tête de singe sont absolument fascinantes mais surtout rares car elles poussent à plus de 1000 mètres de hauteur dans les forêts d’Equateur et du Pérou.
 

!cid_1348121930_2045814156

orchid2


19 septembre 2012

La présence

Tout ce qui existe a en soi un être, une essence divine, un certain degré de
conscience. Même une pierre a une conscience rudimentaire, sinon elle n'existerait pas
et ses atomes et ses molécules se disperseraient. Tout est vivant. Le soleil, la Terre, les
plantes, les animaux, les humains sont tous des expressions de la conscience à divers
degrés, de la conscience qui se manifeste sous une forme…
La conscience se dissimule derrière des formes jusqu'à ce que celles-ci
atteignent une telle complexité qu'elle se perd totalement en elles. Pour la plupart des
humains présentement, la conscience est totalement identifiée à cette mascarade. Elle
ne se connaît qu'en tant que forme et vit par conséquent dans la peur de voir sa forme
physique ou psychologique être détruite. Il s'agit de l'ego, et avec lui s'installe un
dysfonctionnement de taille. Cela semble indiquer qu'une erreur majeure s'est produite
au cours de l'évolution. Pourtant, même cela fait partie du jeu divin, de lila. Finalement,
la souffrance pressante que cet apparent dysfonctionnement a l'air d'occasionner oblige
la conscience à se désidentifier de la forme et à sortir de ce rêve-là. Elle reprend
conscience d'elle-même, mais à un niveau bien plus profond qu'avant qu'elle ne la
perde…
Comprenez la portée, profonde et vaste du fait que vous soyez l'observateur de
votre mental. Chaque fois que vous l'êtes, vous dégagez votre conscience des formes
du mental et celle-ci devient alors ce qu'on appelle l'observateur ou encore le témoin.
Par conséquent, le témoin - conscience pure au-delà de toute forme - se renforce et les
élaborations du mental faiblissent. En agissant de la sorte, vous personnalisez un
événement qui a une portée cosmique : à travers vous, la conscience sort de son rêve
d'identification à la forme et se dissocie d'elle.
Quand la conscience se libère de son identification aux formes physiques et
mentales, elle devient ce que l'on pourrait qualifier de conscience pure ou illuminée, ou
encore de présence. Ceci est déjà arrivé à quelques personnes et apparaît voué à se
produire à une plus grande échelle. Mais la grande majorité des humains est encore
prise dans le piège qu'est le mode de conscience fondé sur l'ego, c'est-à-dire que les
individus s'identifient à leur mental et sont contrôlés par lui…
Déjà, pour la plupart des gens, le seul répit en ce qui a trait à leur mental, c'est d'avoir
occasionnellement recours à un niveau de conscience situé en dessous de celui de la
pensée. C'est ce que tout le monde fait chaque nuit en dormant. Mais cela se produit
également dans une certaine mesure au cours des relations sexuelles, ou en prenant de
l'alcool et d'autres drogues qui réduisent l'activité excessive du mental… Par contre, ces
drogues les empêchant d'avoir assez de présence consciente pour pouvoir s'élever audessus
du niveau de la pensée et ainsi trouver la véritable libération.
Retomber à un niveau de conscience situé en dessous de celui de la pensée, qui
est celui de nos lointains ancêtres, des animaux et des plantes, n'est pas une solution
pour nous. Nous ne pouvons pas revenir en arrière. Si la race humaine veut survivre,
elle doit passer à l'étape suivante.
Quant à la présence, le silence est un transmetteur encore plus puissant que la
parole. Aussi, quand vous lisez ceci ou m'écoutez parler, prêtez attention au silence
entre les mots et derrière eux. Soyez conscient des hiatus. Où que vous soyez, vous
pouvez facilement devenir présent en écoutant le silence. Même s'il y a du bruit, il existe
toujours un certain silence en dessous de lui et entre les sons. Le fait d'écouter le
silence amène immédiatement le calme en vous… Et qu'est donc ce calme, si ce n'est
la présence, la conscience libérée des formes-pensées.

Eckhart Tolle, Extrait de la Présence

19 septembre 2012

Un petit tour sur la lune

Le Centre pour la Science et l’Exploration Lunaire (Center for Lunar Science and Exploration) a fait équipe avec la NASA pour créer ce merveilleux vol à travers la géographie lunaire. Cette vidéo a été réalisée à partir des archives numériques de la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) et beaucoup d’autres missions précédentes. Pratiquement chaque grain de la surface de la Lune a été capturé avec des détails époustouflants.

Vu sur area51blog.wordpress.com

17 septembre 2012

Magnifique Amarssissage de Curiosity en HD

15 septembre 2012

Humour

dessins1

12 septembre 2012

Jésus revient

Le magicien Steven Frayne a vécu au nord de l’Angleterre, dans un quartier très violent à Bradford. Il a pu s’en sortir grâce aux tours de magies que son grand-père lui a appris. Il a récemment tenté de traverser la rivière Thames, nom anglais de la Tamise, en marchant au dessus de l’eau.
Il n’a pu franchir intégralement la rivière qui traverse Londres, arrêté par la Brigade Fluviale.

12 septembre 2012

Dragon bleu

tumblr_l2khyd8e3D1qbcchjo1_500

 

Glaucus atlanticus, parfois appelé glaucus atlantique ou glauque dans les écrits anciens, est un mollusque gastéropode décrit comme élégant par ses formes et ses couleurs, mêlant le blanc et le gris perle à différents tons de bleu.
Il vit dans toutes les eaux tempérées ou tropicales, où il flotte la face ventrale tournée vers la surface. Il se nourrit principalement d’hydrozoaires dont il tire son pouvoir urticant, y compris pour l’Homme. Glaucus atlanticus est hermaphrodite et pond des chapelets d’œufs laissés à la dérive ou fixés sur les cadavres des proies des adultes.

618px-Glaucus_atlanticus_1_cropped

 

10 septembre 2012

Messages électroniques

Prenons l’exemple de la perception visuelle d’un arbre. Cet arbre se présente sous une forme particulière, diversement colorée. Le tronc est brun, gris ou noir, les feuilles sont vertes, les fleurs blanches, roses; des baies rouge vif peuvent se profiler sur un ciel bleu azur. Chacune de ces couleurs est caractérisée par une longueur d’onde et par une fréquence vibratoire spécifique. Elles nous envoient un faisceau de rayons lumineux appelés photons. L’énergie des photons est beaucoup plus éparpillée et diffuse que
celle des électrons qui est plus concentrée. L’énergie vibratoire des photons lumineux ne pourrait être perçue directement par le psychisme. Elle ne peut affecter notre pensée et notre conscience qu’en se transformant préalablement en électrons, ceux-ci étant les messagers indispensables affectant la structure des neurones. La rétine est le lieu où s’effectue cette transformation partielle de l’énergie photonique en énergie électronique. Les rayons lumineux et les images diverses déterminent dans les cellules coniques et les bâtonnets de la surface rétinienne des transformations chimiques, maintenant en mouvement un flux d’électrons qui se dirigent vers certains neurones suivant des cheminements privilégiés dont les caractères spécifiques dépendent de conditionnements antérieurs identiques.
La rétine est composée d’environ cinq cent millions de cellules semblables aux cellules photoélectriques. Elles transforment des légions de photons en autant de légions d’électrons. La rétine remplit une fonction d’organe transducteur, dispositif dont le rôle consiste à transformer une information ou un signal d’une catégorie en une information ou un signal d’une autre catégorie. La nature nous en fournit de nombreux exemples.
Les rayons du soleil (énergie photonique) sont transformés en énergie électronique par la chlorophylle; ou, mieuxencore : l’aiguille du cristal du pick-up transforme les signaux d’énergie sonore en impulsions d’énergie électrique ou flux d’électrons.
Le rôle des transducteurs est très important comme traducteur ou intermédiaire d’information. Ils constituent des maillons indispensables dans les grandes chaînes de processus complexes existant dans les êtres vivants. Cela est encore plus évident si nous prenons en considération les théories de Stefane Lupasco, opposant en contrastes particulièrement tranchants les modes photoniques et les modes électroniques de l’énergie. Grâce au rôle transducteur de la rétine, chaque intensité lumineuse, chaque fréquence spécifique des diverses couleurs se traduisent en impulsions électroniques correspondantes, comportant toute une gamme de variations corrélatives. Ces cortèges électroniques arrivent aux neurones (cellules nerveuses d’une grande importance). Ces
neurones remplissent la fonction de transducteurs et traduisent en stimuli mentaux les chocs électroniques reçus.
Durant chaque minute de notre vie quotidienne, les électrons transmettent des millions de messages dont la variété est fonction de leur nombre, de leur spin ou rotation sur eux-mêmes.
Tous les sens, tels que la vue, l’odorat, l’ouïe, sont des transducteurs transformant, chaque minute, des milliers de messages photoniques en messages électroniques.

Robert Linssen : Spiritualité de la matière, 1966

9 septembre 2012

Illusions d'optique

3 septembre 2012

Votre raison d'être profonde

« Dès que vous dépassez le plan de la survie, les questions du sens et de la raison d'être se mettent à avoir une importance primordiale dans votre vie. Beaucoup de gens se sentent pris par la routine quotidienne qui semble priver leur vie de sens. Certains croient qu'ils sont passés ou passent à côté de leur vie. D'autres se sentent extrêmement limités par les exigences familiales et parentales, par leur situation financière ou par leur situation de vie. Certains autres sont minés par le stress et d'autres encore par l'ennui. Certains sont pris par l'activité effrénée, d'autres par l'apathie. Nombreux sont les gens qui aspirent à la liberté et à l'expansion conférées par la prospérité. De nombreux autres jouissent déjà de la liberté qu'accorde la prospérité et découvrent malgré tout que celle-ci ne suffit pas à donner un sens à leur vie. Aucun prétexte extérieur ne peut servir à découvrir notre vraie raison d'être, qui ne peut se situer sur le plan concret. Notre vraie raison d'être ne concerne pas ce que nous faisons, mais ce que nous sommes. Elle concerne notre état de conscience.

La chose la plus importante à réaliser est la suivante : votre vie a une raison d'être intérieure et une raison d'être extérieure. La raison d'être intérieure est primordiale et concerne l'Être. La raison d'être extérieure est secondaire et concerne le faire. Celles-ci sont si entremêlées qu'il est presque impossible de parler de l'une sans parler de l'autre. Votre raison d'être profonde, c'est de vous éveiller. Aussi simple que ça ! C'est la raison d'être que tous les humains de cette planète ont en commun puisque c'est la raison d'être de l'humanité. Cette raison d'être fait essentiellement partie de la raison d'être du Grand Tout, de l'univers et de son intelligence. Quant à votre raison d'être extérieure, elle peut changer avec le temps et varier beaucoup d'une personne à l'autre. Trouver sa raison d'être profonde et se syntoniser sur elle est ce qui nous permet de manifester notre raison d'être concrète. Sans cette syntonisation, vous pouvez certes accomplir un certain nombre de choses par l'effort, la détermination, la combativité, le travail acharné ou la ruse. Mais, aucune joie n'émane de ces accomplissements, qui finissent invariablement par la souffrance sous une forme ou une autre.

Eckhart Tolle, Nouvelle Terre

2 septembre 2012

L'université des va-nu-pied

31 août 2012

TOUT ARRIVE POUR LE MIEUX

Vous devez vous rappeler que tout ce qui arrive, arrive pour le mieux. Il y a une distribution divine des choses. Votre vie eût été appauvrie sans toutes les choses qui vous sont arrivées. Aussi tout doit être accepté, le bon et le mauvais. En fait, vous n'avez pas le choix. Si vous voulez le bon, vous aurez le mauvais aussi. Chaque chose a deux aspects. Si vous voulez le côté face d'une pièce, vous devez prendre le côté pile aussi. C'est inutile d'attendre seulement du plaisir. Le plaisir et la peine vont toujours de pair. Il faut prendre les deux, ou rien du tout. Quand une chose arrive, acceptez-la d'abord. C'est la vérité. C'est arrivé. Pouvez-vous la refuser et dire que ce n'est pas arrivé? Non. Après avoir pleuré et vous être lamenté vous allez accepter en tout état de cause. Pourquoi ne pas l'accepter dès le début ? Dites " oui " à tout. Quand vous acceptez de plein gré une chose, il n'y a pas de souffrance.
La peur doit être bannie de votre vie.
La peur que quelque chose arrive est pire que la chose elle-même. Les peureux meurent bien des fois avant l'heure de leur mort. La peur doit être bannie de votre vie car elle est irrationnelle et bloque l'action.

Swami Prajnanpad

25 août 2012

Planète Terre

17 août 2012

Trait d'humour

dessins11

16 août 2012

Petit voyage dans le système solaire

SystSol

ici

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 > >>
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 73 761
Publicité