Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Les 2 infinis

16 avril 2012

Socrate (400 avant JC)

« Connais-toi toi même. »

« Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans.  »

« Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.  »

« Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde.  »

« Ceux qui désirent le moins de choses sont les plus près des dieux.  »

« La sagesse commence dans l’émerveillement.  »

socrate

Publicité
Publicité
3 avril 2012

Michio Kaku, astrophysicien New Yorkais

1 avril 2012

Zzzzzzzzz

Les hommes sont aussi négligents et inattentifs
dans leurs moments éveillés
de ce qui se passe autour d'eux
que pendant leur sommeil.
Les sots, bien qu'ils entendent,
sont comme des sourds ;
à eux l'adage suivant s'applique :
lorsqu'ils sont présents
ils sont absents.
Une personne ne devrait pas agir ou parler
comme si elle était endormie.
Les éveillés ont un monde en commun ;
ceux qui dorment ont chacun leur monde intime.

Héraclite

31 mars 2012

Vigilance constante !

La pleine conscience, la vigilance signifient que vous avez une conscience complète de tout ce qui se passe en ce moment. Vous êtes présent. Si, lorsque vient la colère vous êtes présent, la colère ne peut alors pas exister. Elle ne peut éclater que lorsque vous êtes profondément endormi. Lorsque vous êtes présent, la transformation de votre être est immédiate car lorsque vous êtes vigilant, de nombreuses choses ne sont tout simplement plus possibles. Si vous êtes conscient, tout ce qui est considéré comme des péchés n'est en réalité plus possible. En fait il n'existe qu'un seul vrai péché, c'est la non-vigilance.
L'origine du mot anglais sin (péché) signifie manquer quelque chose et non pas commettre une erreur. La racine hébraïque de ce mot signifie exactement manquer, oublier. Manquer quelque chose, oublier, cela signifie faire quelque chose sans être présent - c'est le seul péché. Et la seule vertu ? C'est être pleinement attentif à ce que vous faite. C'est ce que Gurdjieff appelle le rappel à soi, Bouddha nomme cela la pleine conscience, Krishnamurti parle de vigilance et Kabir utilise le mot hindi surati. Le sens est à chaque fois le même : être ici et maintenant ! Rien d'autre n'est nécessaire, absolument rien d'autre.

Osho (Etre en pleine conscience)

30 mars 2012

C'est Bouddha qui le dit

« Doutez de tout et surtout de
ce que je vais vous dire.»

« Nous sommes ce que nous pensons.
Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées.
Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde.»

« Celui qui, après avoir été négligent, devient vigilant,
illumine la terre comme la lune émergeant des nuées.»

« Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur,
concentre ton esprit sur le moment présent.»

« Le temps est un grand maître,
le malheur, c’est qu’il tue ses élèves.»

Publicité
Publicité
26 mars 2012

Le rêve, le Juge et la Victime

Rencontre avec Don Miguel Ruiz, chaman mexicain, nagual de la lignée des Chevaliers de l’Aigle (extraits)

"Les Toltèques enseignent aussi une vérité surprenante : nous ne rêvons pas seulement la nuit, lorsque le cerveau est endormi, mais aussi le jour lorsqu’il est éveillé. Durant la journée, nous partageons un rêve commun que nous appelons «le monde», avec sa structure matérielle qui nous rassure, fondée sur la réalité tridimensionnelle du temps, de l’espace et de la durée qui change lentement. La nuit, cette structure matérielle disparaît, et c’est pour cela que nos rêves changent alors constamment. Rêver est l’activité principale de notre esprit, et elle se poursuit vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Puisque chacun d’entre nous vit un rêve qu’il a créé lui-même, nous avons le pouvoir de changer un rêve infernal en un rêve paradisiaque en modifiant simplement nos croyances et en rêvant un rêve différent."
(...)
"Permettez-moi de vous expliquer ce que j’entends par "rêver". Ce que nous voyons autour de nous n’est rien d’autre que de la lumière de fréquences différentes, réfléchie par des objets. Lorsque nous
voyons des objets, la lumière réfléchie par le monde extérieur pénètre dans nos yeux et elle est reproduite sur la rétine, puis voyage jusqu’au cerveau qui crée notre perception tridimensionnelle à partir de ces images de lumière. Bien que nous ne voyions pas des objets mais de la lumière, nous nous sommes mis d’accord pour accepter que notre perception visuelle de la réalité est la vérité.
Dès que nous commençons à rêver, nous créons tout un film qui devient notre réalité personnelle. Nous créons un rêve vivant dont nous sommes le producteur, le metteur en scène, le scénariste et l’acteur principal, tous les autres n’ayant que des rôles secondaires dans notre production. Dans ce rêve, nous nous donnons un nom, une identité, une famille d’origine, un passé et une éducation. Nous pouvons par exemple avoir plusieurs diplômes, nous marier, élever des enfants, réussir notre carrière et devenir grand-parent. Dans ce scénario, notre rêve personnel se déroule dans le rêve collectif de la planète. Celui-ci est en effet constitué des milliards de rêves personnels plus petits qui, ensemble, créent le rêve d’une famille, d’une communauté, d’une ville, d’un pays, et finalement de toute l’humanité."
(...)
"Enfant, le rêve extérieur «capte» notre attention et nous enseigne que croire. Lorsqu’on est encore tout petit, on ne choisit pas ses croyances, mais on donne son accord à l’information qui nous est transmise par le rêve de la planète. A mesure que nous grandissons, nos parents, nos éducateurs, nos guides religieux ainsi que les médias nous enseignent à rêver de la même façon que tout le monde. Semblable à une jeune éponge qui absorbe tout, on se crée un système de croyances concernant ce qui est juste ou faux, bon ou mauvais, beau ou laid. Nous ne choisissons pas ces concepts : ils sont programmés en nous. Le rêve de notre vie se déroule alors en accord avec notre système de croyances.
Au cours de la domestication, on devient progressivement un être humain « acceptable « grâce à un système de récompense et de punition. Si on respecte les règles et si on fait ce qu’il faut pour plaire à papa et maman et à ses professeurs, on est un "gentil garçon" ou une "gentille fille". Dans le cas inverse, on est un "vilain garçon" ou une "vilaine fille". Pour éviter d’être rejeté, on se conforme à l’image de nous que se forgent les autres. Au bout du compte, on s’identifie tellement à cette image de soi-même, au masque que l’on porte, que l’on se perd complètement dans le rêve de la société, sans savoir que l’on rêve."
(...)
"Lorsque nous sommes domestiqués, tout notre système de croyances est comme un Livre de la Loi que nous utilisons pour juger toutes nos expériences, même si ces jugements vont à l’encontre de notre propre nature intérieure. Lorsque nous violons l’un de ces Commandements - « Tu ne feras pas ceci ou cela « - nous sommes punis par notre Juge intérieur, cette part de notre esprit qui édicte des sentences fondées sur notre système de croyances. Puisque ce Juge intérieur nous condamne presque tout le temps, nous subissons une punition sous forme de rejet de soi, de culpabilité, de honte et d’anxiété.
L’autre partie de notre psychisme à laquelle s’adresse ces jugements est la Victime, le « pauvre de moi « qui pense qu’il n’est « pas assez fort, pas assez intelligent, pas assez bon, pas assez digne «. La Victime dit : « Je suis un perdant ; tout le monde vaut mieux que moi, alors à quoi bon essayer ? Je n’y parviendrai jamais». Le Juge est d’accord avec ces affirmations et décrète : «Oui, tu n’es vraiment pas à la hauteur», et la Victime n’a plus qu’à subir la culpabilité
et la punition. On croit que ce Livre de Loi, que le Juge et la Victime sont réels, mais ce ne sont que des croyances qui nous ont été imposées par le rêve extérieur et que l’on accepte comme vraies. Etant donné que nombre de nos croyances nous condamnent à souffrir, il nous faut changer celles qui nous maintiennent dans un état de peur et de limitation.
(...)
Dans le rêve de la planète, les gens souffrent, vivent dans la peur, et créent toutes sortes de mélodrames douloureux. Etant donné que le rêve extérieur est régi par la peur et rempli d’injustice, de violence et de guerre, les Toltèques considèrent que c’est un cauchemar. Dans notre état normal, nous vivons dans un brouillard d’accords que nous avons conclus avec nous-mêmes, avec notre famille, nos amis, la société et avec Dieu. Pour changer ce cauchemar en un rêve de paradis sur terre, il nous faut briser ces accords fondés sur la peur qui nous privent de notre liberté personnelle et de notre pouvoir."

Propos recueillis par Olivier Clerc
http://www.editions-jouvence.com/ftp/pdf/DA256.pdf

23 mars 2012

Sage message

21 mars 2012

Trait d'humour

dessin2

18 mars 2012

Les 4 accords toltèques

Don Miguel Ruiz est né au Mexique d'une mère curandera (guérisseuse) et d'un grand-père nagual (chaman). Il suit des études de médecine, devient chirurgien, mais un accident lui fait vivre une NDE (...) Suite à cet accident, il décide de retrouver le savoir des chamans, et devient nagual de la lignée des chevaliers de l'Aigle, une lignée qui s'est vouée à transmettre l'enseignement des anciens Toltèques. Dans son livre Les Quatre Accords Toltèques, il propose un code de conduite, un résumé de son enseignement en quatre comportements qui permettent de se libérer du conditionnement collectif de la peur du futur.
"Premier Accord. Que votre parole soit impeccable.
Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez vraiment. N'utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire d'autrui. La parole est un outil qui peut détruire, prenez conscience de sa puissance et maîtrisez-la. Pas de mensonge ni de calomnie.
Deuxième Accord. Ne réagissez à rien de façon personnelle.
Ce que les autres disent sur vous et font contre vous n'est qu'une projection de leur propre réalité, de leurs peurs, de leurs colères, de leurs fantasmes. Exemple : si quelqu'un vous insulte, c'est son problème, ce n'est pas le vôtre. Ne vous vexez pas, et ne vous remettez pas en question pour autant.
Troisième Accord. Ne faites aucune supposition.
Ne commencez pas à élaborer des hypothèses de probabilités négatives, pour finir par y croire comme s'il s'agissait de certitudes. Exemple : si une personne est en retard, vous pensez qu'il lui est arrivé un accident. Si vous ne savez pas, renseignez-vous. Ne vous convainquez pas vous-même de vos propres peurs et de vos propres mensonges.
Quatrième Accord. Faites de votre mieux.
Il n'y a pas d'obligation de réussir, il n'existe qu'une obligation de faire au mieux.
Si vous échouez, évitez de vous juger, de vous culpabiliser et d'éprouver des regrets. Tentez, entreprenez, essayez d'utiliser de manière optimale vos capacités personnelles. Soyez indulgent avec vous-même. Acceptez de ne pas être parfaits, ni toujours victorieux."

Bernard Werber, Nouvelle encyclopédie du savoir relatif et absolu.

17 mars 2012

Le guerrier pacifique (extrait)

16 mars 2012

Paroles de Don Juan Matus

"Nous sommes des consciences; nous ne sommes pas des objets; nous n’avons aucune solidité. Nous sommes illimités. Le monde des objets et de la solidité est une manière de rendre notre passage sur Terre commode. C’est seulement une description que nous créons afin qu’il nous aide… Nous oublions que la réalité matérielle est seulement une représentation et nous nous enfermons ainsi entièrement dans un cercle vicieux duquel nous émergeons rarement dans notre vie."
...
"C’est seulement en tant que guerrier que l’on peut supporter le chemin de la connaissance. Un guerrier ne peut pas se plaindre, ou regretter quelque chose. Sa vie est un défi sans fin, et les défis ne peuvent possiblement pas être bons ou mauvais. Les défis sont simplement des défis. La différence de base entre un homme ordinaire et un guerrier est qu’un guerrier prend tout comme un défi, alors qu’un homme ordinaire prend tout comme une bénédiction ou une malédiction."
...
"Ce n’est pas suffisant de simplement vouloir marcher sur le chemin de la connaissance; vos efforts doivent être impeccables pour vous rendre dignes de cette connaissance."
...
"Il n’y a aucun futur. Le futur est seulement une manière de parler. Pour un sorcier il y a seulement, le ici et maintenant."
...
"La vie d’un guerrier ne peut certainement pas être froide et isolée et sans sentiments, parce qu’elle est basée sur son affection, sa dévotion, son attachement à son Bien-aimé… La Terre sait qu’il l’aime, et elle lui accorde son soin. C’est pourquoi sa vie est remplie jusqu’au bord et son état, partout où il sera, sera abondant. Il erre sur les chemins de son amour… Cette Terre… Seulement si on aime cette Terre avec une passion inébranlable, pourrons-nous nous libérer de la tristesse. Un guerrier est toujours joyeux, parce que son amour est inaltérable et sa Bien-aimée, la Terre, l’embrasse et lui accorde des cadeaux inconcevables. La tristesse appartient seulement à ceux qui détestent la chose même qui les abrite. Cet Être splendide, qui est vivant jusque dans ses moindres recoins et qui comprend chaque sentiment, m’a apaisé, m’a guéri de mes douleurs et finalement, quand j’ai entièrement compris mon amour pour lui, il m’a apprit la liberté."

Carlos Castaneda "Histoire de pouvoir"


… la connaissance du monde que nous percevons nous contraint à croire que nous sommes entourés par des objets, existant par eux-mêmes et comme eux-mêmes, juste comme nous les percevons, tandis que, en fait, il n’y a pas un monde d’objets, mais un univers d’émanations.

Carlos Castaneda "Le feu du dedans"

don_juan_matus_by_almanegra-d3246ol

portrait de Don Juan par Martin de Diego Sádaba

15 mars 2012

Histoire zen

Un jour, un jeune disciple demande à son guide spirituel :
- Maître, pouvez-vous me dire quelles sont les qualités requises pour devenir  un bon aspirant à l’Eveil?
Le maître répond : " L’attention ".
Le disciple s’émerveille et s’exclame :
- Merci Maître, je le note tout de suite ! Et la suivante?
Le maître répond : " L’attention. "
- Ah ? s’étonne le disciple. Mais respectueux, il ne fait pas de commentaire et prend note.
Puis il hasarde :
- Et y aurait-il une autre qualité ?
- Oui, dit le maître, l’attention…

heureux04

14 mars 2012

Trait d'humour

dessins17

14 mars 2012

Nous ne sommes pas seuls

Déclarations de personnalités au sujet des OVNIS (extraits)

Colonel John Glenn - Astronaute, Sénateur US
"Certains rapports sur les OVNI sont fondés.» Puis quelques années plus tard : «En ces jours glorieux, j’étais très mal à l’aise lorsque l’on nous demandait de dire des choses que nous ne voulions pas et d’en démentir d’autres. Certaines personnes nous demandaient, vous savez, étiez-vous seuls là haut ? Nous n’avons jamais répondu la vérité, et cependant nous avons vu des choses là bas, des choses étranges, mais nous savons ce que nous avons vu là haut. Et nous ne pouvions réellement rien dire. Nos supérieurs avaient vraiment très peur de cela, ils avaient peur d’un truc du genre de la guerre des mondes, et de la panique générale dans les rues. Donc, nous devions rester silencieux. Et maintenant nous voyons ces choses seulement dans nos cauchemars ou peut-être dans des films, et certaines sont très proches de la vérité."

Georgiy M. Grechko - Cosmonaute, Soyuz et Salyut
"Si j’étais libre de dire ce que j’ai vu dans l’espace, le monde en serait stupéfait."

Major Gordon Cooper - Pilote, Astronaute
"(...) Pendant des années, j’ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes et les astronautes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux Etats-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de nature inconnues. Et il y a des milliers de rapports de témoins et quantités de documents qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent une espèce d’horribles envahisseurs. Donc le maître mot demeure : Nous devons éviter la panique à tout prix."

Maurice Chatelain - Programme Apollo - Responsable des communications de la NASA
"Tous les vols Apollo et Gemini furent suivis, à distance et quelquefois de très près, par des vaisseaux spatiaux d’origine extraterrestre. A chaque fois, les astronautes en informaient «Mission Control», qui leur enjoignait de garder le silence le plus complet."

Dr Dino Dini - Ingénieur spatial de la NASA
Au sujet des OVNI aperçus au cours du vol Apollo 11 : "Ces séquences furent effacées parce qu’il y avait là beaucoup de points qui ont surgi et qui faisaient partie de ce fameux Blue Book qui aurait dû être publié, avant qu’on change d’avis.
En fait, la réalité est la suivante : ce qu’Armstrong a vu était réel. Car partout où règne la confusion, au cours de la dernière guerre, pendant la guerre du Golfe, partout où le chaos se déclenche, apparaissent ces disques volants. Ceux-ci proviennent de stations postées près de la Terre. C’était donc juste de le dire, et nous avons dû le faire.
Neil Armstrong a vu des objets qui le suivaient, des vaisseaux spatiaux qui suivaient Apollo, et aussi des êtres vivants. Des vaisseaux ont également suivi les autres missions Apollo. C’est là une réalité attestée. C’est nous qui avons entravé le discours global, car nous avions reçu des instructions en ce sens. Nous étions effrayés au plus haut point lorsque nous avons compris l’énorme différence qu’il y avait entre notre technique, notre science et celle des OVNI.
Il est donc évident que cela nous a amenés à donner des avis négatifs, dans leur globalité. Indéniablement, le fait décevant est que nous n’avons pas d’explications, car notre science est encore pratiquement primitive en comparaison de celle de ces planètes d’où proviennent ces vaisseaux spatiaux."

Edgar D. Mitchell - Astronaute Apollo 14
"Nous savons tous que les OVNI sont réels. La question est : d’où viennent-ils ?"



Interview d'Edgar Mitchell - scientifique et astronaute - par Nick Margerisson sur Kerrang! Radio.

 

Paul Hellyer, ex-ministre de la Défense canadienne (Allocution prononcée le 19 avril 2008)
"J'aurais aimé être de bonne humeur, mais je ne le suis pas. Nous nous dirigeons à un train d’enfer vers la destruction de notre planète, et il me semble que nous en fassions peu de cas . Il y a des décennies des Visiteurs, venus d’autres planètes, nous ont mis en garde sur la direction que nous avions prise, et nous ont offert leur aide. Mais, au lieu de cela, nous, ou du moins certains d’entre nous, avons interprété leur visite comme une menace et avons décidé de « tirer d’abord » et poser des questions ensuite."
(...)
"Stephen Bassett a dit que parler d’OVNI est du passé, et que nous devrions parler maintenant d’Exopolitique. En théorie, je suis d’accord, mais, en réalité, nous avons un problème parce que la politique officielle des États-Unis maintient que les Ovnis n’existent pas. Le voile du secret doit être levé maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Il est paradoxal que les États-Unis aient commencé une guerre dévastatrice – prétendument à la recherche d’armes de destruction massive – alors que les développements les plus inquiétants dans ce domaine se produisent dans notre propre arrière-cour."
(...)

Amiral Roscoe H. Hillenkoetter, ex directeur de la C.I.A, 27 février 1960, dans une lettre adressée au congrès et rapportée par le “New York Times”
" Il est grand temps que le Congrès fasse éclater la vérité grâce à des auditions publiques. Derrière la scène, discrètement, des officiers de haut-rang de l'Armée de l'Air s'occupent des OVNI. Mais, par le secret officiel et le ridicule, on a amené les citoyens à croire que les OVNI sont des absurdités. Pour cacher les faits, l'Armée de l'Air a réduit au silence son personnel.
et en 1986 : Des objets inconnus sont dirigés par une force intelligente... Il est impératif que nous apprenions d'où ils viennent et quel est leur but."

Général Douglas Mac Arthur, le 8 Octobre 1955
"
Les nations du monde devront s'unir car la prochaine guerre sera interplanétaire. Les nations de la Terre devront un jour faire front commun contre une attaque de peuples extraterrestres."
et le 12 mai 1962 :
"Vous affrontez maintenant un nouveau monde, un monde de changements. Nous parlons en termes étranges, de l'exploitation de l'énergie cosmique, de l'ultime conflit entre la race humaine unie et les forces sinistres d'un autre système planétaire de la galaxie."

 

La Loi sur le contact extraterrestre : The Extraterrestrial Exposure Law
Le 16 Juillet 1969, une loi des USA a été adoptée et appelé la «loi d'exposition extra-terrestre". Cette loi a rendu illégal pour le public d'entrer en contact avec les extra-terrestres ou leurs véhicules. (Titre 14, Section 1211 du Code of Federal Regulations). Toute personne trouvée coupable d'un tel contact pourrait faire à un an d'emprisonnement et avoir une amende de 5000 $. L'administrateur de la NASA a toute autorité pour décider, sans audition, si une personne ou un objet a été "exposé directement ou indirectement à un contact extraterrestre". Il peut également imposer une quarantaine indéterminée, sous garde armée, qui ne peut être cassée par aucune cour de justice.
La loi a été adoptée à l'origine pour protéger la planète Terre de toute contamination biologique possible découlant du programme spatial américain Apollo et d'autres programmes d'exploration spatiale. Il a été suggéré par des chercheurs et des scientifiques que le gouvernement américain était très inquiet que le contact avec des bactéries extra-terrestres pourrait entraîner un fléau mondial. Le système immunitaire de l'être humain ne serait pas en mesure de combattre de telles bactéries, et par conséquent que toute «exposition extraterrestre» doit être prise très au sérieux.
Les communautés ovnistes des USA (comprenant chercheurs, enquêteurs et croyants en l'existence des ovnis), étaient alarmés par cette loi, car les définitions du contact pouvaient permettre au gouvernement américain de poursuivre tout le personnel de la NASA ainsi que des personnes du grand public qui entrent en contact avec les extra-terrestres et leurs véhicules. Cette loi, en contradiction avec la constitution est passée inaperçue au milieu d'un texte global long et fastidieux.Les associations de défense des libertés ont trouvé cette attitude paradoxale, d'un coté le gouvernement niait son intérêt pour le problème extraterrestre, et de l'autre il y avait une loi qui interdisait tout contact avec les extraterrestres et leur vaisseaux. Cette loi a été votée avant le départ des trois premiers astronautes de la mission Apollo en partance pour la Lune, soit le 16 juillet 1969 et lorsque ceux-ci sont rentrés sur Terre, ils ont été mis en quarantaine. La NASA a révoqué la loi en 1977 et la loi a été officiellement retirée du Code of Federal Regulations en 1991.

 

Le Guide des Soldats du Feu pour le Contrôle des Catastrophes
Le "Guide des Soldats du Feu pour le Contrôle des Catastrophes", ("The Fire Officer's Guide To Disaster Control") se trouve dans TOUS les établissements de police et les casernes de pompiers des Etats-Unis.
Le Chapître 13 du livre de Kramer et Bahme, traite en 14 pages des conséquences d'un crash d'Ovni. Il a pour titre : "Attaque ennemie et Eventualité d'un Ovni", et il est accompagné d'une bibliographie sur le phénomène ovnien.
Extrait du chapitre 13 :
Avertissement :
S'approcher d'un OVNI peut être dangereux pour les êtres humains.
Ne restez pas sous un OVNI en vol stationnaire à basse altitude.
Ne touchez pas et n'essayez pas de toucher un OVNI qui a atterri.
Dans tous les cas, il faut fuir le plus rapidement possible et laisser faire les militaires.
Il existe une possibilité de danger due aux radiations, des cas de brûlure par rayonnements émanant des OVNI ont été répertoriés.
Ne prenez aucun risque avec les OVNI

13 mars 2012

Les 2 infinis de Pascal

Que l’homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté, qu’il éloigne sa vue des objets bas qui l’environnent. Qu’il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l’univers, que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu’il s’étonne de ce que ce vaste tour lui-même n’est qu’une pointe très délicate à l’égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s’arrête là, que l’imagination passe outre; elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce monde visible n’est qu’un trait imperceptible dans l’ample sein de la nature. Nulle idée n’en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n’enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C’est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin, c’est le plus grand caractère sensible de la toute puissance de Dieu, que notre imagination se perde dans cette pensée. 

Que l’homme, étant revenu à soi, considère ce qu’il est au prix de ce qui est; qu’il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature; et que de ce petit cachot où il se trouve logé, j’entends l’univers, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes et soi-même son juste prix. Qu’est-ce qu’un homme dans l’infini ? 

Mais pour lui présenter un autre prodige aussi étonnant, qu’il recherche dans ce qu’il connaît les choses les plus délicates. Qu’un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des vapeurs dans ces gouttes; que, divisant encore ces dernières choses, il épuise ses forces en ces conceptions, et que le dernier objet où il peut arriver soit maintenant celui de notre discours; il pensera peut-être que c’est là l’extrême petitesse de la nature. Je veux lui faire voir là dedans un abîme nouveau. Je lui veux peindre non seulement l’univers visible, mais l’immensité qu’on peut concevoir de la nature, dans l’enceinte de ce raccourci d’atome. Qu’il y voie une infinité d’univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible; dans cette terre, des animaux, et enfin des cirons, dans lesquels il retrouvera ce que les premiers ont donné; et trouvant encore dans les autres la même chose sans fin et sans repos, qu’il se perde dans ses merveilles, aussi étonnantes dans leur petitesse que les autres par leur étendue; car qui n’admirera que notre corps, qui tantôt n’était pas perceptible dans l’univers, imperceptible lui-même dans le sein du tout, soit à présent un colosse, un monde, ou plutôt un tout, à l’égard du néant où l’on ne peut arriver ? 

Qui se considérera de la sorte s’effrayera de soi-même, et, se considérant soutenu dans la masse que la nature lui a donnée, entre ces deux abîmes de l’infini et du néant, il tremblera dans la vue de ces merveilles; et je crois que sa curiosité, se changeant en admiration, il sera plus disposé à les contempler en silence qu’à les rechercher avec présomption. Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d’où il est tiré, et l’infini où il est englouti.

Blaise Pascal, Les pensées

7 mars 2012

Einstein à dit

« Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito.  »
« Le nationalisme est une maladie infantile. C’est la rougeole de l’humanité.  »
« Je veux connaître les pensées de Dieu ; tout le reste n’est que détail.  »
« Si les faits ne correspondent pas à la théorie, changez les faits.  »
« Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt.  »
« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.  »
« Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine... mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue.  »
« Ne t’inquiète pas si tu as des difficultés en maths, je peux t’assurer que les miennes sont bien plus importantes !  »
« Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément.  »
« J’affirme que le sentiment religieux cosmique est le motif le plus puissant et le plus noble de la recherche scientifique.  »
« Définissez-moi d’abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j’y crois.  »
« La distinction entre le passé, le présent, le futur n’est qu’une illusion, aussi tenace soit-elle.  »
« Le problème aujourd’hui n’est pas l’énergie atomique, mais le coeur des hommes.  »
« Rien n’est plus proche du vrai que le faux.  »
« Ce qui fait la vraie valeur d’un être humain, c’est de s’être délivré de son petit moi.  »
« Un être humain est une partie du tout que nous appelons «Univers»... Une partie limitée dans le Temps et dans l’Espace.  »
« Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d’une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C’est ça la relativité.  »
« Il n’y a que deux façons de vivre sa vie : l’une en faisant comme si rien n’était un miracle, l’autre en faisant comme si tout était un miracle.  »
« Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais je sais qu’il n’y aura plus beaucoup de monde pour voir la quatrième.  »
« La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !  »

Albert Einstein

Albert-Einstein

4 mars 2012

Apollonios a dit...

Personne ne meurt si ce n'est en apparence, de même que personne ne naît si ce n'est en apparence. En effet, le passage de l'essence à la substance, volà ce qu'on appelle "naître", et ce qu'on appelle "mourir" c'est au contraire le passage de la substance à l'essence.
Lorsqu'une chose est imprégnée de matière, elle est visible à cause de la résistance de sa densité. Mais si elle est dépouillée de matière, elle est invisible à cause de sa subtilité.

Apollonios de Tyane

orakel

Apollonios de Tyane (parfois connu sous la forme latine de son nom, Apollonius) est un philosophe néopythagoricien, prédicateur et thaumaturge du 1er siècle de l’ère chrétienne, né en 16 ap. J.-C. à Tyane en Cappadoce et mort à Éphèse en 97 ou en 98.
Il fut comparé à Jésus de Nazareth, en quelque sorte un « Christ païen » : il eut des disciples et fit des miracles. La Vie d’Apollonios de Tyane de Philostrate est la principale source d’information que l’on ait sur lui.
Il fut un grand voyageur, visitant les pays entourant la Méditerranée, alla jusqu’à Babylone et même en Inde où il se lia d’amitié avec des brahmanes. Il marchait pieds nus, portant les cheveux longs, ne se nourrissant que de légumes, refusant les boissons alcoolisées et pratiquant l’abstinence sexuelle, vivant d’aumône, redistribuant aux pauvres les biens qu’on lui donnait et couchant dans les temples. Il prêchait, rassemblant sur son passage des foules qui venaient l’écouter condamner le luxe et la décadence des mœurs, convaincre de ne pas consommer de chair animale et prôner un système de vie communautaire.
Malgré sa notoriété et ses nombreux disciples, il n’établit pas d’organisation ou de groupe formel, et ne forma aucun successeur pour poursuivre sa tâche de prédication.
(Source Wikipédia)

voyageur

Du personnage historique, un magicien ou thaumaturge de la fin du 1er siècle, on sait finalement peu de chose. Mais le personnage mythique joua un très grand rôle dans la lutte antichrétienne à la fin de l'Antiquité.
Lorsque l'écrivain Philostrate, à la demande de l'impératrice Julia Domna, écrivit, au début du iiie siècle, sa Vie d'Apollonius de Tyane, il ne se doutait peut-être pas du succès qu'obtiendrait son héros ni de la signification qu'il allait revêtir. Il voulait seulement décrire sous les traits d'Apollonius le sage idéal, l'homme divin, le nouveau Pythagore, pratiquant l'abstinence, le célibat et le silence, enseignant qu'on n'honore pas le Dieu suprême par des sacrifices sanglants, mais par la pureté du cœur. Il voulait aussi réagir contre la réputation de magicien faite à ce grand homme : ses dons merveilleux (compréhension du langage des oiseaux, connaissance de toutes les langues de l'univers, pénétration du secret des cœurs, prophéties, guérisons) n'étaient, à ses yeux, que le fruit de la sagesse transcendante qui le rendait en quelque sorte omniscient.
Mais grâce au roman historico-philosophique de Philostrate, le paganisme finissant allait trouver en Apollonius une figure de saint et de thaumaturge à opposer à la figure du Christ. Hiéroclès, puis Porphyre, polémistes antichrétiens du lve siècle, le firent abondamment. Eunape de Sardes, écrivain de la même époque, aurait voulu que Philostrate intitulât son ouvrage Voyage d'un dieu parmi les hommes. Les fameux contorniates, monnaies émises à Rome de 358 à 472 dans une intention de propagande antichrétienne, présentent souvent, à côté des effigies d'autres grands hommes, notamment Pythagore, celle d'Apollonius. Et, dans la même intention, l'aristocrate romain Virius Nicomachus Flavianus traduit en latin le roman de Philostrate. La superstition populaire utilisera longtemps, même dans la Byzance chrétienne, des talismans protecteurs attribués à Apollonius.
Pierre HADOT (encyclopaedia universalis)

3 mars 2012

oogway

3 mars 2012

Dans la confusion et le chaos du monde, nous nous

Dans la confusion et le chaos du monde, nous nous sentons perdus, dispersés, isolés. Ce sentiment de fragilité, de solitude, est une illusion. Apprends à considérer les individus comme les étincelles d'un feu unique.
(...)
Tu es lucide, et tu connais la brièveté de la vie entre la naissance et la mort. Profites-en. Utilise la vie comme une voie rapide pour atteindre la Sagesse. Ne perds pas de temps. Ta vie commence aujourd'hui.
(...)
L'amour n'est pas extérieur à toi, même si tu le cherches au-delà de toi même. Il a sa demeure dans les mystère de ton coeur. Tu as simplement perdu la clé.
(...)
Apprends qu'il n'y a ni commencement ni fin du monde. Pas d'évolution, de progression à travers le temps. C'est une mauvaise façon de voir. L'Univers est instantané. Il ne quitte jamais l'instant. Nous ne quittons jamais l'instant.
(...)
L'instant n'a pas de limite. Si nous pouvions le vivre pleinement, nous saurions ce qu'est l'éternité, car le présent est éternel.

Dugpa Rimpoché

2 mars 2012

Le messie récalcitrant

Il n'est jamais problème qui n'ait un cadeau pour toi entre ses mains. Tu cherches des problèmes parce que tu as besoin de leurs cadeaux.
(...)
Ce que la chenille appelle la fin du monde, le Maître l'appelle un papilllon.
(...)
Voici une épreuve pour découvrir si ta mission sur la terre est terminée: Si tu es vivant, c'est qu'elle ne l'est pas.
(...)
Il ne t'est jamais donné un désir sans que te soit donné le pouvoir de le rendre réalité. Tu peux être obligé néanmoins de peiner pour cela.
(...)
Apprendre, c'est découvrir ce que tu sais déjà.
Faire, c'est démontrer que tu le sais
Enseigner c'est rappeler aux autres qu'ils savent aussi bien que toi.

Richard Bach : Illusions, ou Le messie récalcitrant

Publicité
Publicité
<< < 10 20 21 22 23 24 25 > >>
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 73 741
Publicité